Tag: Migrations
Enfants réfugiés : se raconter et faire tomber les préjugés
Un coup de cœur pour l’action de six étudiantes de l’IHECS, en master 2 « animation socioculturelle & Éducation permanente » ! « À...
L’ inégalité scolaire ultime vestige de la Belgique unitaire ?
Lors de la conférence de presse présentant le lancement de sa campagne "Ambition et équité pour l'éducation", le 3 mars 2020, l'Aped a présenté...
Des élèves de 6e primaire créent une exposition sur les migrations
Rita, enseignante en sixième primaire dans une école de Charleroi, a mené durant un mois et demi avec ses élèves un projet interdisciplinaire aboutissant...
Vottem, camp de la honte, 14 ans déjà… Nous ne l’acceptons toujours pas !
L'Aped invite ses membres et sympathisants à manifester...
Dimanche 17 mars 2013 à 14h00
Rassemblement à Liège, Parc de la Citadelle, rue des Glacis, devant l'Enclos...
18 mars : manif nationale contre le centre fermé pour étrangers de Vottem
13 ans déjà que le Centre fermé pour étrangers fonctionne sur les hauteurs de Liège, à Vottem. Nous ne l'acceptons toujours pas ! Nous appelons...
Sept leçons pour une pédagogie de classe
Lorsque vous entendez parler des enfants étrangers dans notre école, on en parle souvent comme s’ils représentaient un problème ou un atout pour «nos» enfants. Un problème, car le rythme et la qualité du travail scolaire seraient rallentis d'une manière très préjudiciable. Un atout car la diversité des origines et des langues permettrait un contexte de travail enrichi et plus stimulant d'un point de vue culturel et social. À la première observation - “avec tant d'étrangers, le niveau et le rythme de travail scolaire sont pénalisés, ceux qui en souffrent sont nos enfants” - nous avons tendance à riposter avec la seconde: “c'est vrai, c’est peut-être difficile, mais nous y gagnons à être ensemble”. On ne donne donc pas une réponse spécifique et dirigée vers les préoccupations des parents. On leur tourne seulement autour, on tergiverse. Mais les parents ne sont pas dupes ... Je travaille dans les écoles. Je rencontre des parents et ils me posent des questions. Ces questions parfois ne regardent pas directement leurs propres enfants. Ils me questionnent aussi sur le classisme sociale de l'école. Ainsi je me sentais dans l’obligation morale (ainsi qu'humaine et professionnelle) de répondre de façon documentée à leurs questions ...
PISA 2003 et les résultats des élèves issus de l’immigration en Belgique
En Belgique, les tests PISA révèlent des écarts entre élèves autochtones et allochtones plus élevés qu'ailleurs. Une étude réalisée par l'Aped démontre que cette situation découle principalement du statut social des élèves issus de l'immigration et que les facteurs proprement ethniques, culturels ou linguistiques sont secondaires (en Flandre) voire négligeables (en Communauté française de Belgique).