Tag: Meirieu
Philippe Meirieu: l’individualisation, solution ou problème de l’école ?
Le 20 novembre 2021, Philippe Meirieu nous faisait l’amitié de participer à nos traditionnelles « 6 heures pour une École démocratique ». L’occasion pour...
Les 2 interventions de Philippe Meirieu à nos « 6 heures » sont en...
Nous vous proposons d'écouter (ou de réécouter) les enregistrements audio des deux interventions de Philippe Meirieu lors des "6h pour l'école démocratique" du 20...
Ecole et coronavirus : un bilan provisoire
Impéritie des pouvoirs publics, aggravation des inégalités, soumission à l’économie, marchandisation galopante, privatisation, concurrence exacerbée, manque de moyens… Au sujet de l’Ecole, la crise...
Meirieu : « Arrêtons de totémiser le numérique ! »
"L’école que j’appelle de mes vœux est une école de la solidarité. La concurrence sera supplantée par une solidarité plus grande, où les élèves...
Soigner l’école
Parmi les urgences sociétales actuelles, la priorité des priorités, c'est la santé... mais à égalité avec l'éducation la grande oubliée de ceux et celles...
Meirieu contre l’approche par compétences !
Et de deux ! Après le désaveu de Marcel Crahay il y a deux ans, c'est au tour du célèbre pédagogue français Philippe Meirieu...
Les subtils poisons du libéralisme
Dans l’ouvrage que nous avons publié aux éditions de l’Aube en mai 2008 avec Philippe Meirieu, nous expliquions dans un rappel historique synthétique que notre Ecole Publique a connu un grand virage en 2002, virage fortement accentué en 2005 avec M. de Robien et conforté avec une certaine arrogance en 2007 avec M. Sarkozy et M. Darcos. Nous sommes passés d’une ère où, dans le respect d’une certaine continuité républicaine, avec une droite encore marquée par le gaullisme, on a recherché les moyens de transformer l’école, à une ère où la réduction de l’investissement de l’Etat et la domination des milieux conservateurs ont favorisé la libéralisation progressive du système.
Ecole : non au renoncement
La «crise des banlieues» qu'a connue notre pays durant le mois de novembre a été l'occasion, ou le prétexte, pour le gouvernement d'annoncer la...
L’évaluationnite, le malheur de l’école
Dès que l'on se permet aujourd'hui d'émettre la moindre réserve sur le développement de l'évaluation à l'école, on surprend les auditoires, on passe pour un fossile, on choque même certains spécialistes qui, prenant des airs effarouchés, assimilent cette attitude à un refus de mesurer l'effet d'une politique ou le rendement des moyens affectés. Il est vrai que le développement de certaines formes modernes d'évaluation à l'école est issu de la culture de l'entreprise et de la technocratie, et que, dans cet esprit, tout investissement doit être évalué. L'idée a séduit d'abord ceux qui, chez les décideurs, considèrent que l'école coûte cher et qu'elle est tenue à une obligation de résultats, et ceux qui, dans les corps d'inspection notamment, se piquent au jeu du technicisme pensant que c'est une voie pour redorer le blason d'une profession contestée. Comme tout concept d'origine économique, l'évaluation porte l'apparence d'une logique implacable et donc indiscutable. De là à en faire une exigence morale, il n'y a qu'un pas franchi avec aisance par les milieux influencés par le MEDEF, mais aussi par d'autres !