Lerarentekort vooral in “moeilijke” scholen

Ondanks gunstige tussenberichten is het lerarentekort, zeker gezien de vergrijzing onder het personeel, nog allerminst opgelost in Nederland. Wel begint de omvang van het...

“Slechte scholen worden gesloten”

De Nederlandse minister Van der Hoeven van Onderwijs (CDA) wil scholen die langdurig slecht presteren geen overheidsgeld meer geven, wat in de praktijk betekent...

Bijna 400.000 Italiaanse kinderen onder de 14 jaar werken

Italië telt tussen de 360.000 en 400.000 kinderen van 7 tot 14 jaar die verplicht worden te werken. Dat blijkt uit een alarmerend rapport...

Programme pour l’enseignement obligatoire en Belgique

Le 8 novembre dernier une vingtaine de membres et amis de l'Aped se réunissaient pour discuter de notre projet d'école sur base d'un texte intitulé Changer l'école pour changer le monde. Ce texte avait pour vocation de répondre à une objection formulée de temps à autre : « Vous dénoncez les dérives du système éducatif, ses aspects non démocratiques, mais vos alternatives se limitent à des grands principes. Que voulez-vous concrètement ? » Les échanges furent très riches. Néanmoins, nous avons enregistré ce jour-là et dans les jours qui ont suivi quelques remarques que l'on pourrait résumer comme suit : « Votre vision de l'école telle qu'elle devrait être est excellente, mais il y a un tel fossé entre cette école-là et l'école que nous connaissons qu'on ne voit vraiment pas par quel chemin on pourrait y arriver ! » C'est pourquoi nous avons voulu proposer un nouveau texte. Celui-ci ne remplace pas le précédent. Il le complète en proposant un programme pour lequel nous estimons qu'il est possible de lutter dès maintenant. Cela ne signifie pas qu'il pourrait être d'application à la prochaine rentrée. Mais bien que l'heure est venue de débattre, de chercher des alliés, bref de mener une lutte politique pour obtenir des avancées concrètes. Un premier échange a eu lieu le 24 avril. Une nouvelle réunion est prévue pour le samedi 26 juin

Nous vivons en démocratie », ils disaient …

« Droit de vote, suffrage universel, régime parlementaire, constitution, partis démocratiques, séparation des pouvoirs, liberté d'expression, droits et devoirs du citoyen », « une presse garante de la démocratie », « les Etats-Unis, la plus grande démocratie au monde », « liberté, égalité, fraternité » … A en croire le discours des politiciens, des intellectuels et des journalistes « de révérence » … et des hommes d'affaires, nous sommes les heureux citoyens du meilleur des mondes possible. Certes, reconnaissent-ils volontiers, ce monde n'est pas parfait, il lui arrive de « dysfonctionner », mais quand même, c'est ce qu'on a fait de mieux comme système. Qu'ils disent.
Et pourtant ….

Que peut-on faire au-delà des discours ?

Le cinquantième anniversaire de la Déclaration universelle des droits de l'homme a été l'occasion de nombreuses initiatives pédagogiques aussi variées que méritoires : publications, leçons de morale, d'histoire, mobilisation parfois coordonnée de toute une école. Je pense à une exemplaire journée des " Sans " (sans papiers, sans travail, sans avenir…) organisée à l'Institut technique et professionnel d'Herbuchène à laquelle j'ai eu le plaisir, avec bien d'autres, de participer. Journée modèle par l'implication des enseignants et des élèves, sensibilisés par diverses activités (création d'une pièce, café-citoyen…) aux injustices de notre société.

Pourquoi les pouvoirs établis veulent-ils développer la citoyenneté ?

Avez-vous remarqué que ce sont les principaux pouvoirs en place - politique et économique en tête -, qui nous appellent à exercer notre citoyenneté. Curieux, non ? Pourquoi cet engouement ? Qu'attendent-ils de nous, au juste ? Poser ces questions, c'est déjà un peu y répondre.

Existe-t-il une recette de la citoyenneté ?

De quoi est faite la citoyenneté dont nous nous revendiquons, nous, enseignants et militants progressistes, et que nous souhaitons éveiller chez les jeunes ? Nous en dégageons ici les grandes lignes, pour ensuite, dans d'autres articles de ce dossier, tenter de les détailler.

Exercer l’esprit critique

« L'art de poser de (bonnes) questions, et d'y répondre, est donc une compétence indispensable à la pratique démocratique. Ainsi, l'école, lieu où l'on apprend à interroger le réel avec le maximum de rigueur que peut apporter la fréquentation des différentes sciences, est un lieu privilégié d'apprentissage démocratique. » Luis Miguel Lloreda (1)

De commune Dzerjinski en de pedagogische principes van Makarenko

In 1927 wordt Anton Makarenko gevraagd om de leiding op zich te nemen van de Commune Dzerjinski, een school voor verwaarloosde kinderen. Uit economische noodzaak en als pedagogische keuze gaat Makarenko er een collectiviteit oprichten die gebaseerd is op de productieve arbeid. De communeleden waren na een tijd in staat om volledig in hun onderhoud te voorzien. Eerst produceerden ze voorwerpen in de schrijnwerkerij, later elektrische boren en daarna foto-apparaten die in heel de wereld bekend werden onder de merknaam FED (Felix Edmoundovitch Dzerjinski). In zijn werk "Organisatiemethode van het opvoedingsproces" legt Makarenko uit welke principes hem in de commune Dzerjinski hebben geleid. Natuurlijk is dergelijke organisatie niet overdraagbaar in een kapitalistisch land van de 21ste eeuw. Maar achter de organisatorische vragen profileert zich een filosofie van de opvoeding. Het is deze filosofie die we met de lezer willen delen. Laat ons Makarenko beluisteren ….

Situering van het werk van Makarenko

In de Sovjetunie was de evolutie van de pedagogische theorie en van het onderwijssysteem nauw verbonden met de wetenschappelijke vernieuwingen en met het praktische werk van een hele reeks eminente opvoeders. Onder de grote sovjetopvoeders die ervoor streden dat de democratische ideeën en principes gerespecteerd werden in de pedagogische theorie en praktijk, heeft Anton Sémionovitch Makarenko (1888-1939) een vooraanstaande rol gespeeld. Terecht prijkt zijn naam onder die van de wereldklassiekers in de pedagogie. Zijn boeken zijn op miljoenen exemplaren over de ganse wereld verspreid en genieten een grote populariteit. In heel wat landen onderzoekt men zijn activiteiten en probeert men zijn ideeën toe te passen op de pedagogische praktijk. Nochtans gebeurt het niet zelden dat, zowel in studies voor specialisten als in werken voor het grote publiek, 'het geval Makarenko' op een onvolledige of zelfs verkeerde manier wordt voorgesteld. Dit artikel van G.N. Filonov (1) dateert weliswaar van vóór de val van de Sovjetunie maar blijft zijn waarde behouden.

Foulard, laïcité et racisme

A la rentrée 2003, deux jeunes filles, Alma et Lila, ont été exclues d'un lycée à Aubervilliers pour avoir porté un foulard musulman. Cette...

Réforme Moratti : vers la privatisation finale ?

Avec l'arrivée au pouvoir de Silvio Berlusconi, le ministère de l'Instruction Publique italien a perdu le second des deux termes qui composaient son nom, pour devenir tout simplement « Ministère de l'lnstruction ». Un choix en totale cohérence avec un programme de centre-droite en matière d'éducation, programme qui va s'achever avec la réforme Moratti, du nom de la ministre de l'instruction.

Le gouvernement français en guerre contre les manuels d’économie « marxistes »

Le ministre de l'Economie Francis Mer a critiqué les manuels scolaires d'économie, qui dispensent selon lui un cours de "marxisme", et souhaité que les...