Ecole commune : un bien bel encouragement

Notre projet d'Ecole commune, nous l'avons travaillé à partir de 2004 et publié en 2006. Sur ce site, il est depuis lors très sagement...

La taille des classes est bel et bien un facteur de...

S’il est vrai que le nombre d’élèves par classe n’est pas le seul élément, ni même sans doute le plus important, dans la détermination de l’efficacité et de l’équité de notre système scolaire, on ne peut pourtant laisser M. Martin François affirmer (dans la rubrique «Opinions» de La Libre Belgique du 2 janvier 2012), que «l’impact d’un petit nombre d’élèves est faible» et que «les scientifiques montrent que la diminution du nombre d’élèves dans la classe est préjudiciable aux enfants issus de milieux défavorisés». Car, en vérité, la recherche scientifique a désormais pu établir sans le moindre doute l’impact positif d’une réduction des effectifs scolaires, au moins dans les premières années d’enseignement, et particulièrement pour les enfants des milieux populaires.

Marx écologiste

John Bellamy Foster, Marx écologiste, Amsterdam, 2011, 134 p. Il y a des essayistes qui se donnent pour mission de remettre les pendules à...

Bonne merde !

En bonne logique, c’est au rédac’chef que revient l’honneur de présenter à ses lecteurs les vœux de l’Ecole démocratique. Des vœux pour 2012 !...

Jean-Claude Michéa et le complexe d’Orphée

Jean-Claude Michéa, Le complexe d’Orphée. La gauche, les gens ordinaires et la religion du progrès, Climats, 2011, 356 p. Le nouveau Michéa est arrivé !...

L’alter-économie

Christian Arnsperger, L’homme économique et le sens de la vie. Petit traité d’alter-économie, Textuel, 2011, 134 p. Après Critique de l’existence capitaliste. Pour une...

Pourquoi un cours de philosophie ?

On l’a souvent remarqué ces dernières années, la question de l’introduction d’un cours de philosophie dans l’enseignement secondaire belge s’apparente à un monstre du Loch Ness qui, depuis bientôt trente ans, ne cesse de ressurgir dans les agendas de certains parlementaires sans que jamais l’identification des conditions de possibilité de sa survie communautaire soit possible.

Du mal-être des parents de nos élèves au travail

Pensez donc. C'est même pas un marxiste claquemuré dans ses convictions archaïques qui l'affirme ! L'info vient en droite ligne d'un des temples du...

À quels enfants laisserons-nous le monde ?

« À quels enfants laisserons-nous le monde ? » Cette question est celle que Jean-Claude Michéa déplie chirurgicalement devant nous, dans son ouvrage : L’enseignement de l’ignorance et ses conditions modernes. De prime abord, son interrogation peut paraître simplement dubitative, ou perplexe, voire légèrement inquiétée ? En fait, la question est redoutable, vertigineuse pour qui regarde attentivement.

Pétition pour la défense du statut de l’artiste

Nous demandons à la Ministre de l’Emploi de bien vouloir organiser sans délai une concertation sur l’ensemble de la problématique de la réglementation de...

Les conséquences néfastes de la communautarisation de l’enseignement en Belgique

Depuis 1989, les trois Communautés (flamande, française et allemande) de Belgique sont compétentes en matière d’enseignement. La communautarisation de ce dernier constituait le menu...

Marche citoyenne

Dans les années à venir, un groupe de citoyens européens partira du cœur de l’Europe pour ouvrir la route Jorsala, itinéraire pédestre transeuropéen qui...

Une école moins carnée

Dans le numéro de décembre 2011, le magazine Prof consacre un de ses dossiers à l’alimentation carnée dans les cantines scolaires. À l’occasion de...

La matière illuminée

Nous voudrions dans cet article passer brièvement en revue le développement de nos conceptions de la matière et de la lumière afin de mieux appréhender ce que nous dit aujourd'hui la physique moderne. Nous verrons que la physique actuelle unifie non seulement ces deux notions : matière et lumière, mais aussi que cette unification s’est faite en étendant à la connaissance de la matière — les corps, corpuscules massifs — ce qui a été appris de la lumière et non l’inverse. Comme l’écrit Frank Wilczek[[ Frank Wilczek (1951- ), prix Nobel de physique 2004, Étasunien.]] au début d’un récent livre[[ Franck Wilczek, The Lightness of Being : Mass, Ether, and the Unification of Forces, Basic Books (2008), Penguin (2010).]], « L’ancien contraste entre la Lumière céleste et la Matière terrestre a été transcendé dans la physique moderne. Il y a une seule chose, et ça ressemble plus à l’idée traditionnelle de la lumière qu’à l’idée traditionnelle de la matière. »