Austérité: ceux qui en souffrent et ceux qui en profitent

"Il ne fait plus de doute, désormais, que le secteur européen de l’éducation sera l’une des grandes victimes de la crise financière et budgétaire...." Tel est le thème de cette nouvelle «lettre de l'école démocratique». A télécharger, imprimer et diffuser dans votre établissement scolaire.

France : « Refondation de l’école » ?

Nos amis de la Fédération Sud Education font une analyse très critique de la "Refondation de l'école" telle qu'initiée par François Hollande et son...

Pourquoi étudier les Sciences ?

Dans un dossier consacré l’école polytechnique (ED 47 de septembre 2011), Nico Hirtt écrivait que le propre de l’Homme est de fabriquer et surtout de concevoir des outils. C’est exact. Plus généralement, ne pourrait-on dire que le propre de l’Homme est de concevoir ? Plus exactement sans doute de conceptualiser. D’avoir conscience du Monde qui l’entoure. Certes il existe de nombreuses espèces animales capables de fonctionner autrement que dans l’immédiateté. En développant des stratégies de chasse ou en faisant des réserves pour l’hiver par exemple. Une expérience d’éthologie semble même montrer que certaines espèces d’oiseaux sont capables de compter jusqu’à 7 ou 8… Mais l’Homme semble être la seule espèce qui se pose des questions sur elle-même et sur le côté temporaire de son existence individuelle.

La physique, pour quoi faire ?

Il est inutile dans ce cadre de revenir sur l’étymologie du mot « physique » et sur le sens que celui-ci a pu prendre dans le passé. Actuellement, la physique consiste en l’étude des lois de base de la nature. A l’exclusion des phénomènes du vivant (biologie) et des transformations de la matière (chimie). Mais il est important de comprendre que tous les phénomènes naturels (y compris donc ceux du vivant) sont soumis aux lois de la physique : rien ne peut être en désaccord avec celles-ci.

La biologie pour étudier la vie et pour… améliorer sa propre...

La biologie a pour objet l’étude des êtres vivants sous tous ses aspects. Par conséquent, elle se décline en un grand nombre de sous-disciplines. Certaines d’entre elles sont liées à la nature des êtres étudiés : les ornithologues étudient les oiseaux, les entomologistes les insectes, les botanistes les plantes, les primatologues les primates, … Cette petite liste peut être grandement allongée. Par ailleurs, il y a des sous-disciplines qui sont liées à des points de vue spécifiques : en anatomie, on étudie la structure du corps. En physiologie le fonctionnement des organes, en écologie les liens entre les êtres vivants et leur environnement. La cytologie étudie la composition et les propriétés des cellules à partir desquelles tous les êtres vivants sont constitués. La théorie de l’évolution s’occupe de l’histoire des êtres vivants et recherche les mécanismes et les événements qui ont déterminé cette histoire.

Et la chimie ?

Que peut apporter un cours de chimie par rapport aux objectifs d’un cours de sciences ?

Et la géologie ?

La géologie est la science de la Terre. “Comprendre le Monde” ne peut se concevoir sans une connaissance et une compréhension sérieuse de la planète sur laquelle nous vivons. Certes, les élèves suivent déjà actuellement un cours de géographie dans lequel certains éléments de géologie sont abordés. Mais nous plaidons pour l’existence d’un cours proprement dit. Celui-ci serait de nature à rencontrer plusieurs objectifs généraux assignés aux cours de sciences.

Méritocratie

La méritocratie semble bien être l'un des objectifs du nouveau contrat social. Que ce soit à droite ou à gauche, l'idée du mérite, à partir...

Forum des délégués de classe

Le 20 février 2013, l'asbl Jeune Et Citoyen vous invite à son Forum des délégués de classe. Vous êtes professeur, éducateur, préfet...? Vous êtes impliqué...

Aped Liège : une soirée sur l’approche par compétences

Le groupe régional de l'Aped poursuivait ce mercredi 28 novembre 2012 le cycle d' (in)formations publiques entamé en mai dernier (le concept : les membres de l'équipe se forment aux thèses de l'Aped... en ouvrant la porte au public sympathisant). Cette fois-ci, c'était le thème de l'approche par compétences qui faisait l'objet de notre attention, avec une intervention de Nico Hirtt. La salle de 80 places était comble. Le public varié : de l'étudiante normalienne à l'inspecteur, en passant par les instit' maternelles, les enseignants du supérieur pédagogique, un ancien échevin de l'instruction publique liégeoise, des enseignants de terrain, parfois venus à plusieurs d'une même école... On se réjouit d'avance des répercussions que pourra avoir cette réflexion critique sur autant de terrains.

Un dessin animé de 4 mn pour expliquer la dette publique...

«A qui profite la dette ?» Un dessin animé pour comprendre la dette publique belge en 4 mn, avec les voix bien connues de...

Univendebat : 20 propositions d’action

La journée du 20 octobre, « Universités: quels moyens pour quelles fins ? », a débouché sur la formulation de vingt propositions d'action à...

On nous prend pour des pommes

Dans le cadre des formations IFC (Institut de la Formation en Cours de Carrière), j'ai participé à une formation pour le moins surprenante. Je ne résiste pas à l’envie de vous en faire part…

iPad en classe : danger !

Le collège Sint-Pieter et l'école de commerce Sint-Jozef (SPSJ) de Blankenberge ont donc franchi le pas : leurs 710 élèves ont dû se présenter en classe le 3 septembre munis d'un iPad. Je n’affirmerai pas que l’utilisation d’une tablette est forcément superflue en classe. Je conçois parfaitement qu’on puisse trouver un certain avantage dans la mise à disposition de tous les documents de cours sur un support relativement léger, dans le fait que les élèves aient un accès personnel à Internet durant les cours, dans les synergies qui peuvent naître d’une communication facile entre élèves et professeurs, etc. Pourtant, on aurait tort d’imaginer que l’utilisation d’une telle technologie en classe n’aurait que des avantages.