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Nico HIRTT - search results

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Falsification statistique

Comme enseignant de mathématiques je suis toujours à l'affût d'exemples concrets me permettant d'illustrer des cours de statistique fort arides. Il faut donc remercier...

Manifeste pour l’annulation du « code de bonne conduite des interventions...

Nous, organisations, élus, citoyens, observons avec inquiétude l'intrusion croissante des intérêts privés et marchands dans l'enseignement public, laquelle met à mal le principe constitutionnel...

Welke lading dekt de vlag van de “herwaardering”?

De “herwaardering van het technisch en beroepsonderwijs” staat sinds vele jaren op de onderwijsagenda maar was nooit zo prominent aanwezig als in de jongste regeerakkoorden van de vele deelregeringen die België rijk is. Van Daniël Coens over Luc Van den Bossche en Marleen Vanderpoorten tot Frank Vandenbroucke of van Elio Di Rupo over Laurette Onkelinx en Pierre Hazette tot Maria Arena, telkens komen de ministers wel met een initiatief voor het voetlicht. De oprichting van de Hoge Raad voor het Technisch en Beroepsonderwijs (1985) en van de Conseil Supérieur de l'Enseignement Technique Francophone (1988). De Staten-Generaal van het Technisch Onderwijs (1993), georganiseerd door de VLOR (Vlaamse Onderwijs Raad) en voorbereid door de Hoge Raad voor het Technisch en Beroepsonderwijs en de SERV (Sociaal-Economische Raad voor Vlaanderen). Het opstellen van de beroeps- en opleidingsprofielen, in Vlaanderen toevertrouwd aan sectorcommissies van de SERV, in het Franstalig landsgedeelte aan de speciaal daartoe in 1995 opgerichte CCPQ (Commission Communautaire des Professions et des Qualifications). In 2000 hergroepeert minister Hazette de studierichtingen van het technisch en het beroepsonderwijs. In Vlaanderen heeft Van den Bossche een paar jaar vroeger een gelijkaardige operatie doorgevoerd.

Première analyse du Projet de Loi Fillon sur l’Ecole

Le projet de loi d'orientation pour l'avenir de l'école, adopté par le Conseil des Ministres mercredi 12 janvier 2005, est une arme de destruction massive contre l'Ecole, conçue comme institution séparée chargée de transmettre des connaissances disciplinaires définies par des programmes nationaux. On peut dire que le projet de loi Fillon est l'extension à l'ensemble du système scolaire de la logique du LMD à l'université, qui elle-même ne fait que suivre les recommandations des institutions européennes (Déclaration de Bologne, Conseil européen de Lisbonne) à savoir la capitalisation de l'Ecole ou la soumission totale de l'Ecole aux intérêts patronaux. C'est ce que nous allons détailler point par point, citations à l'appui.

Les patrons, le contrat stratégique et Arena

En surfant sur le site du "contrat stratégique pour l'enseignement en Communauté française" je tombe sur la page de liens. Bonne nouvelles, l'Aped y...

Atelier 6h: « L’enseignement scandinave, une alternative ? »

L’enseignement scandinave obtient de bien meilleurs résultats que le nôtre. Comment ? Cette interrogation aura drainé près de quarante participants autour de Marcel Crahay, Professeur...

L’Europe libérale aux commandes de l’école

La question cruciale que posent le rapport Thélot et la nouvelle loi d'orientation concerne la logique de fond qui préside aux analyses et mesures proposées pour réformer l'école. Comment se construit aujourd'hui une loi sur l'école en France ? Qui en décide et surtout quelles sont les instances qui l'inspirent ? La forme et le fond, le processus et le contenu sont indissociables. L'impressionnante théâtralisation qui a accompagné l'élaboration de la loi depuis l'automne 2003 a répondu à un double souci et a eu un double effet : déposséder les enseignants et les autres personnels de l'enseignement, majoritairement porteurs de conceptions politiquement indésirables, de toute vraie « voix au chapitre » ; oblitérer autant que possible le déplacement du centre de gravité des politiques éducatives vers le niveau européen.

Thélot ou l’école de la reproduction

Face aux difficultés liées à la massification de l'enseignement et à défaut de vouloir réellement investir dans la réussite des élèves, deux mauvaises réponses sont habituellement proposées : niveler par le bas ou hiérarchiser les formation. Le Rapport Thélot [[<*>Quelques mots d'explication pour les non-français. En septembre 2003, Luc Ferry, ministre de l'Education nationale, cherchant en vain à ne pas subir le sort qui avait été dévolu à Claude Allègre, installait une commission, dirigée par Claude Thélot, et la chargeait de deux missions. Premièrement, organiser un « grand débat » sur l'enseignement en permettant à tous - professeurs, parents, associations, syndicats, etc - de s'exprimer. Deuxièmement, « mener une réflexion prospective conduisant à identifier des schémas possibles d'évolution de notre système éducatif primaire et secondaire ».
Un an plus tard, Luc Ferry a été défenestré. Mais la Commission Thélot a bien rempli son contrat. Au terme de 26.000 réunions, de 300 contributions écrites en provenance d'associations, de 1.500 lettres et de 15.000 courriers électroniques, la Commission a publié, en avril 2004, un premier rapport de synthèse du débat. Et le 16 octobre dernier Claude Thélot présentait officiellement à Jacques Chirac son rapport final , intitulé : « Pour la réussite de tous les élèves ». Tous les extraits cités dans le présent article proviennent de ce rapport.]] innove audacieusement : il propose de faire les deux à la fois, en réduisant le tronc commun à une peu de chagrin tout en renforçant les mécanismes de sélection.
Dès lors, si ce rapport nous apprend quelque chose, c'est que les marges de manoeuvre des dirigeants des systèmes éducatifs européens sont décidément devenues fort étroites. La similitude entre les thèses de la Commission Thélot et les lignes directrices des réformes initiées depuis plus de dix ans dans les autres nations industrialisées est surprenante : recentrage sur les besoins économiques (au nom de l'emploi, bien entendu), flexibilité, décentralisation et dérégulation, abaissement des objectifs cognitifs au profit de compétences sociales, relationnelles ou directement exploitables par les employeurs, renforcement de la ségrégation sociale, introduction de techniques de management inspirées du secteur privé et surtout, surtout, pas un euro de plus pour sortir l'école de la crise. Le rapport « Pour la réussite de tous les élèves » est un document historique : il constitue l'acte de décès de cinquante années de massification de l'enseignement secondaire en France et, par la même occasion, il enterre les espoirs de démocratisation dont cette époque avait été porteuse.

Adapter l’école pour créer des emplois ?

S'il y a une convergence entre les accords de gouvernement Flamands et Francophones (voir notre dossier), c'est bien celle qui consiste à établir plus de liens entre le monde de l'école et celui de l'entreprise. Et dans les deux cas, la justification est également la même : l'emploi. Ainsi, il existerait des emplois non occupés et une des causes serait un « manque réel de personnes qualifiées ». Pour remédier à cette situation, il faudrait que « l'offre de formation et d'enseignement qualifiant soit mieux adaptée aux réalités du marché de l'emploi ». Il s'agit donc « d'augmenter leur attractivité et d'être davantage en contact avec le monde du travail ». Dans le supérieur, il faudra « renforcer la sensibilisation à l'entreprenariat » (1)

Débat sur la violence et l’échec scolaire

L’ECHEC ET LA VIOLENCE A L’ECOLE Défaite des parents, des enseignants, ou phénomène de société ? Conférence-débat, le lundi 22 novembre à 19h30 Organisée par la Maison de la...

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