TRACeS de Changements aborde le thème de la lecture

Partir du dessin, des images mentales pour plonger dans la lecture ; lire des mots imprimés sur des pages, lire des schémas, lire sur...

Echecs en math : et si on examinait les programmes d’étude ?

Le journal Le Soir de ce 21 janvier nous apprend que seuls 56% des élèves de 2e secondaire ont réussi le test de maths aux épreuves externes du Certificat d'Etude du Premier Degré (CE1D). Nous apprend ? Y a-t-il un professeur de maths ou de sciences dans l'enseignement secondaire qui aurait douté de ce résultat ? Cela fait des années qu'on l'observe et cela fait des années que la situation empire d'année en année. Les notions de base ne sont pas assimilées. Les élèves ont vaguement entendu parler d'angles, de pourcentages, de graphiques ou d'équations, ils connaissent les noms de Pythagore et de Thalès, mais rien n'est réellement acquis, rien n'est maîtrisé. Six années de primaire et deux années de secondaire inférieur semblent n'avoir laissé que des traces superficielles dans le cerveau des jeunes. La faute aux instituteurs ? La faute aux régents du premier degré ? Ou plutôt, la faute à une atmosphère générale qui ne valorise guère la rigueur et le travail systématique ? En tout cas, la faute à des programmes qui manquent cruellement de précision, de cohérence et de lisibilité.

Sauver l’histoire : une exigence éducative, critique et démocratique

Réformer un système éducatif est assurément une entreprise difficile ; elle l'est d'autant plus lorsque les communautés éducatives elles-mêmes ne sont que très mal...

De la culture générale

Normand Baillargeon, Liliane est au lycée. Est-il indispensable d’être cultivé ?, Flammarion, 2011, 117 pages. L’importante question de la culture générale à l’école est abordée...

Le capitalisme fait-il monter le niveau ?

Peut-on dire que le développement de la production capitaliste ait engendré une demande croissante de formation des travailleurs et des consommateurs, qui expliquerait à...

La surenchère sécuritaire gagne l’école

C’est une évidence : la fièvre sécuritaire dont souffre la société dans son ensemble est aussi en train de gagner l’école. Si nous condamnons cette surenchère, cela ne signifie en aucun cas que nous nions les faits de violence, bien réels, et les conséquences qui en découlent. Il faut intervenir, bien sûr. L’apprentissage suppose que l’école soit à l’abri de la violence, nous pensons qu’il suppose une discipline, une autorité, même si notre voix ne se joindra jamais au choeur des paranoïaques qui ne lisent leur époque qu’à travers ce prisme. Mais pourquoi donc les gouvernants privilégient-ils de plus en plus la voie de la répression, plutôt que celle du progrès social et de l’éducation ? Pourquoi ce choix, qui enferme les élèves et les personnels de l’enseignement dans un cercle vicieux toujours plus explosif ?

Kit pédagogique sur la consommation

« La cause principale de la dégradation continue de l’environnement mondial est un schéma de consommation et de production non viable, notamment dans les...

Liège, 20/9 : « L’école, un monde à construire »

Le jeudi 20 septembre à 20h, au Cinéma Le Parc à Liège, projection du film-documentaire: "L'école, un monde à construire", de Patrick Le Ray. Ce...

Réconcilier théorie et pratique en éducation

Dans ce dossier, nous abordons trois questions étroitement liées, en rapport avec la relation entre théorie et pratique dans l'enseignement. Primo, la division hiérarchique entre théorie et pratique à l'école peut-elle se justifier par l'existences d'intelligences inégales ou différentes ? Secundo, comment comprendre la relation dialectique entre théorie et pratique dans la genèse du savoir ? Tertio, comment reproduire cette unité théorie-pratique dans nos rapports pédagogiques et didactiques en classe ?

De quoi l’instruction polytechnique est-elle le nom ?

L’obscurantisme semble avoir encore de beaux jours devant lui. L’assassinat de Samuel Paty a particulièrement frappé la communauté éducative. Nous a ainsi été brutalement...

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