Ecole et discipline : retour au 19e siècle ?

Par certains aspects, l'évolution "sécuritaire" dans l'enseignement aujourd'hui n'est pas sans rappeler ce qui advint de l'école au 19e siècle.

Un tronc commun ? D’accord, mais pour quoi faire ?

Lors du Colloque organisé par l'Aped le 10 novembre dernier, Nico Hirtt a analysé le débat sur le tronc commun sous l’angle des contenus....

Histoire au CEB : compétences contre savoirs

Depuis plusieurs années, à l’approche des épreuves certificatives de la sixième primaire (CEB) et de la deuxième année du secondaire (CE1D), le quotidien Le...

Mathématiques et Histoire, une association porteuse de sens ?

Pourquoi ne parle-t-on pas (ou peu) d’Histoire des maths dans l’enseignement des mathématiques ? Dans les années ’60, et pour plusieurs décades, la réforme...

Classer les universités : une aberration

Classer les universités – ou les écoles de quelque niveau qu’elles soient – nous a toujours semblé une aberration. Parce que cela relève d’une...

Obésité

Que vient faire l’obésité sur un site dédié à l’enseignement ? Je viens tout simplement de lire la chronique « santé » signée Gilles Goetghebuer...

Péter des bulles à l’école

Le numéro de janvier 2008 du magazine "Science et vie junior" nous apprend qu'en Angleterre, des professeurs de sciences du primaire ont été contactés...

Jacques Pauwels: « Il faut plus d’histoire populaire, qui explique la vie de « ceux d’en...

Un entretien sur l'enseignement de l'histoire avec Jacques Pauwels, PhD en Histoire et en Sciences politiques de l'Université de Toronto, auteur de nombreux articles...

Pourquoi un cours de philosophie ?

On l’a souvent remarqué ces dernières années, la question de l’introduction d’un cours de philosophie dans l’enseignement secondaire belge s’apparente à un monstre du Loch Ness qui, depuis bientôt trente ans, ne cesse de ressurgir dans les agendas de certains parlementaires sans que jamais l’identification des conditions de possibilité de sa survie communautaire soit possible.

La surenchère sécuritaire gagne l’école

C’est une évidence : la fièvre sécuritaire dont souffre la société dans son ensemble est aussi en train de gagner l’école. Si nous condamnons cette surenchère, cela ne signifie en aucun cas que nous nions les faits de violence, bien réels, et les conséquences qui en découlent. Il faut intervenir, bien sûr. L’apprentissage suppose que l’école soit à l’abri de la violence, nous pensons qu’il suppose une discipline, une autorité, même si notre voix ne se joindra jamais au choeur des paranoïaques qui ne lisent leur époque qu’à travers ce prisme. Mais pourquoi donc les gouvernants privilégient-ils de plus en plus la voie de la répression, plutôt que celle du progrès social et de l’éducation ? Pourquoi ce choix, qui enferme les élèves et les personnels de l’enseignement dans un cercle vicieux toujours plus explosif ?

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