CEB et Histoire : la dérive des compétences

Les questions proposées aux élèves pour s'exercer en préparation du CEB, notamment en histoire, témoignent de l'indigence dramatique qui a résulté de l'approche par compétences. Elles illustrent combien cette approche est contraire à la pédagogie constructiviste dont elle se réclame pourtant.

Les vautours du coronavirus 6, Blanquer persiste et signe

L'école de demain s'appuiera largement sur de l'enseignement à distance. C'est ce qu'annonce le ministre français Blanquer dans deux entretiens, sur France Inter le...

Et si le système éducatif, c’était bien plus que l’école ?

Toutes les réformes menées jusqu’ici pour améliorer notre enseignement ont échoué … sans vraiment rien changer. Et s'il n'était pas possible de changer le...

Notre étude sur les inégalités sociales scolaires en 15′ à l’écran

Le 6 mars dernier, la chaîne d'information LN24 a invité Nico Hirtt pour présenter la dernière étude de l'Aped sur les inégalités scolaires en...

Documentaires (BBC) van David Attenborough over Darwin

Ter gelegenheid van het Darwin-jaar brengt de Nederlandse Volkskrant een unieke dvd-box met drie BBC -documentaires uit. De documentaires zijn in het Nederlands ondertiteld.

Jacques Pauwels: « Il faut plus d’histoire populaire, qui explique la vie de « ceux d’en...

Un entretien sur l'enseignement de l'histoire avec Jacques Pauwels, PhD en Histoire et en Sciences politiques de l'Université de Toronto, auteur de nombreux articles...

Regards économiques biaisés sur l’école

L’étude que viennent de publier Jean Hindriks et Marijn Verschelde dans la revue Regards Economiques (Le Soir du 10/2 et La Libre Belgique du 8/2) rappelle quelques faits essentiels et bien établis concernant les performances des systèmes éducatifs belges. A savoir, que l’enseignement des deux Communautés est caractérisé par un taux de ségrégation et d’inégalité sociale très élevé, mais que les performances scolaires moyennes sont meilleures en Flandre qu’en Communauté française. L’étude confirme également que les disparités liées à l’origine nationale des élèves s’expliquent principalement par les variables socio-économiques, bien qu’il subsiste, même à origine sociale égale, un effet lié au statut d’immigration (particulièrement en Flandre). En revanche, l’analyse des causes et des mécanismes que font les deux chercheurs de l’UCL et de l’université de Gand laisse pour le moins perplexe.

22/04 : Colloque « Une place pour chaque enfant dans une bonne école »

La ségrégation sociale est l'une des grandes plaies de l'enseignement belge. Comment empêcher la formation d'écoles-ghettos et les inégalités d'apprentissages qui en découlent ? Comment garantir...

La taille des classes est bel et bien un facteur de réussite !

S’il est vrai que le nombre d’élèves par classe n’est pas le seul élément, ni même sans doute le plus important, dans la détermination de l’efficacité et de l’équité de notre système scolaire, on ne peut pourtant laisser M. Martin François affirmer (dans la rubrique «Opinions» de La Libre Belgique du 2 janvier 2012), que «l’impact d’un petit nombre d’élèves est faible» et que «les scientifiques montrent que la diminution du nombre d’élèves dans la classe est préjudiciable aux enfants issus de milieux défavorisés». Car, en vérité, la recherche scientifique a désormais pu établir sans le moindre doute l’impact positif d’une réduction des effectifs scolaires, au moins dans les premières années d’enseignement, et particulièrement pour les enfants des milieux populaires.

Cachez ce tronc…

L’Aped n’a pas caché sa déception quant au contenu du « Pacte pour un enseignement d’excellence ». Mais nous ne rejoignons pas pour autant toutes les...

Les plus lus...

Articles récents