L’école française sur les traces de l’école belge

L’école belge, parce qu’elle est érigée en quasi marché, parce qu’elle est la plus libérale des pays industrialisés, détient le triste privilège d’être la...

L’école dans une logique de marché

Passage de témoin à la CSC-Enseignement. Dans le Soir du 27 août, l’ancien secrétaire général, Prosper Boulangé, et le nouveau, Eugène Ernst, dénoncent sans...

Le lamentable bulletin UNICEF de la Belgique se confirme

C’est l’UNICEF qui nous avait mis la puce à l’oreille, fin 2002. Dans un de ses rapports, notre pays était pointé du doigt pour...

La marchandisation du système éducatif en Grande Bretagne

Sous le couvert de donner plus d'autonomie et de pouvoir aux dirigeants d'établissements scolaires, le gouvernement britannique de coalition entre conservateurs et libéraux-démocrates est en train de poursuivre le travail entamé par son prédécesseur travailliste : la privatisation marchande de l'enseignement. Le professeur Richard Hatcher, de l'université de Birmingham, éclaire le sujet pour nous.

Equité et inégalité dans les systèmes éducatifs européens

Jean-Pierre Kerckhofs, président de l'Aped, et Marc Demeuse, professeur à l'Université Mons-Hainaut, centrent leurs analyses sur les résultats de l'enseignement en Communauté française de Belgique et ses performances, notamment en matière d'équité. L'enseignement y est-il d'un niveau comparable à celui de ses partenaires européens? Fait-il mieux ou moins bien que dans les pays d’un niveau économique comparable? Est-il socialement juste, et ses structures favorisent-elles la réussite et l'émancipation sociale?

Compétences et compétition : deux formes de la dérégulation de l’enseignement en Europe

«Efficacité et équité». On ne compte plus les rapports de la Commission, les motions du Parlement européen, les mémorandums du Conseil des ministres de...

PISA ? C’est toujours la catastrophe !

Marie-Dominique Simonet (CDH) et Rudy Demotte (PS) «se félicitent» et «ne cachent pas leur satisfaction» après la publication des résultats de l’enquête PISA 2009. Tout au plus disent-ils vouloir s’abstenir de tout «triomphalisme» et «rester modestes». Voilà bien le discours convenu de la vedette qui sait pavoiser comme il faut : sans en avoir l’air. Mais y a-t-il vraiment de quoi ?

Le lamentable bulletin UNICEF de la Belgique se confirme

C’est l’UNICEF qui nous avait mis la puce à l’oreille, fin 2002. Dans un de ses rapports, notre pays était pointé du doigt pour...

Classes homogènes et classes hétérogènes

Plusieurs personnes, parmi lesquels des professeurs, des parents, des directeurs sont convaincues que la composition des classes vient à déterminer la qualité pédagogique et le niveau atteint par les élèves et par ces mêmes classes. Ces personnes considèrent d’un côté la composition des classes, examinant le niveau de préparation atteint par les élèves – bons, moins bons – et pensent d’un autre côté au surnombre d’élèves dans les classes. La question qui se pose est : faut-il réduire la composition hétérogène des classes ? Ou doit-on la gérer ? Aujourd’hui, je me penche sur la première variable : la composition des classes.

La surenchère sécuritaire gagne l’école

C’est une évidence : la fièvre sécuritaire dont souffre la société dans son ensemble est aussi en train de gagner l’école. Si nous condamnons cette surenchère, cela ne signifie en aucun cas que nous nions les faits de violence, bien réels, et les conséquences qui en découlent. Il faut intervenir, bien sûr. L’apprentissage suppose que l’école soit à l’abri de la violence, nous pensons qu’il suppose une discipline, une autorité, même si notre voix ne se joindra jamais au choeur des paranoïaques qui ne lisent leur époque qu’à travers ce prisme. Mais pourquoi donc les gouvernants privilégient-ils de plus en plus la voie de la répression, plutôt que celle du progrès social et de l’éducation ? Pourquoi ce choix, qui enferme les élèves et les personnels de l’enseignement dans un cercle vicieux toujours plus explosif ?

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