Les vautours du coronavirus 1
Dans mon quartier-village du centre-ville de Liège, les habitants ont constitué depuis des années une mailing-liste pour toutes les communications utiles. En ces temps...
« Enseignement à distance » : le chant des sirènes
La croyance en l’efficacité de l’e-learning relègue l’enseignant à la fonction de gentil organisateur de parcours d’apprentissage, c’est-à-dire, en réalité, à une fonction autre...
L’école nouvelle cible des gourous de la Silicon Valley
Cela fait longtemps que les gourous de la Silicon Valley ont annoncé la couleur : à l’instar de Trump – mais avec l’intelligence en plus...
« Googlelisation » des cerveaux, vraiment ?
Au JT du 26 août, on nous annonce qu’internet change les cerveaux de nos adolescents. Ils ne sont plus capables de concentration et ne...
Pas de ça chez moi!
Les entrepreneurs s’abstiennent prudemment de consommer la junk production qu’ils nous fourguent pour s’en mettre plein les poches. On avait déjà entendu parler de...
Jean-Claude Marcourt vers le préciTICE
On le savait, on le craignait : emporté par sa déraison néolibérale, managériale, technolâtre et soi-disant « progressiste », le gouvernement wallon s’apprête à...
L’informatique scolaire, entre pédagogie et marchés
Lorsque je dois résumer en une phrase ma position sur l’introduction des technologies de l’information et de la communication (TIC) à l’école (TICE ), j’ai coutume de dire qu’elles répondent davantage aux pressions des milieux économiques, friands de marchés et de main d’œuvre compétitive, qu’à des besoins pédagogiques. Mais lorsque j’expose ce point de vue, je me fais souvent traiter de «passéiste», voire de «briseur de machine», de luddite du 21e siècle.
Technologies de l’information et de la communication à l’école (TICE) : gardons la tête...
La « révolution numérique », une nouvelle utopie ? Surtout, gardons la tête froide et questionnons d’abord le sens et les valeurs que porte cette « révolution ».
Les TIC à l’école : un bien, un mal ou c’est plus compliqué ?
Spontanément, je dirai que c’est indéniablement plus compliqué, que ce soit en ce qui concerne l’école ou encore la société toute entière. Ainsi, lorsque nous parlons du rôle des technologies pour réduire le fossé entre les individus, nous pourrions tout aussi bien argumenter que ce dernier ne fera que s'élargir entre ceux qui sont connectés à Internet et les autres. D'autre part, si réduire le fossé revient à niveler les différences qui constituent la richesse de nos cultures, c'est à un véritable désert culturel que nous entraînent ces «merveilleuses» technologies. Ainsi, comme toute création humaine, les technologies sont ambiguës, elles constituent à la fois un « bien » et un « mal », cette « option » dépendant des usages que nous ferons des artefacts que nous avons nous-mêmes créés.
Changement du lien social par l’influence pédagogique des TICE
Cette réflexion s’ordonne autour de l’influence des NTIC, dénommées abusivement nouvelles techniques de l’information et de la communication alors que le dernier-né, l’Internet ou réseau des réseaux, existe déjà depuis une vingtaine d’années, mais il a pris son élan surtout cette dernière décennie, du moins en Algérie, bien que les autres moyens audiovisuels sont plus anciens, mais tout autant performants et efficaces. D'une façon générale, l'impact de ces T.I.C. nous paraît en effet fondamental, suite à l’étendue de leurs usages et le changement qu'elles opèrent dans l’espace culturel, social, économique, politique de tous les pays, quelque soit le type de société, en tant qu'elles contribuent à remettre en cause les savoirs déjà constitués, ainsi que les modes d’apprentissages et les variables qui en conditionnent l’efficacité.