Les vautours du coronavirus 5, Jean-Michel Blanquer

C’est Christophe Cailleaux qui nous le rappelle (1) : le ministre Jean-Michel Blanquer soutient très activement les acteurs privés du marché éducatif. Son truc,...
Approche par competences

Appel international des enseignantes et des enseignants à lutter contre l’entrée de l’approche par...

La « compétence » entre aujourd’hui dans les écoles – et les universités. Un grand nombre d’enseignantes et d’enseignants sont, comme on sait, hostiles...

Le poids mémoriel, impasse du dialogue culturel?

Marie Peltier, du Centre Avec ( www.centreavec.be ) aborde la problématique de l'influence du poids mémoriel dans nos relations aux autres cultures dans cette...

Changement du lien social par l’influence pédagogique des TICE

Cette réflexion s’ordonne autour de l’influence des NTIC, dénommées abusivement nouvelles techniques de l’information et de la communication alors que le dernier-né, l’Internet ou réseau des réseaux, existe déjà depuis une vingtaine d’années, mais il a pris son élan surtout cette dernière décennie, du moins en Algérie, bien que les autres moyens audiovisuels sont plus anciens, mais tout autant performants et efficaces. D'une façon générale, l'impact de ces T.I.C. nous paraît en effet fondamental, suite à l’étendue de leurs usages et le changement qu'elles opèrent dans l’espace culturel, social, économique, politique de tous les pays, quelque soit le type de société, en tant qu'elles contribuent à remettre en cause les savoirs déjà constitués, ainsi que les modes d’apprentissages et les variables qui en conditionnent l’efficacité.

On nous prend pour des pommes

Dans le cadre des formations IFC (Institut de la Formation en Cours de Carrière), j'ai participé à une formation pour le moins surprenante. Je ne résiste pas à l’envie de vous en faire part…

Il y a les manuels et les intellectuels, non ?

De proche en proche, l’incapacité de nos sociétés à produire un enseignement socialement équitable finit toujours par déboucher sur ce vieux discours justificatif qui affirme, en substance :  « il y a les bons élèves et les moins bons ; n’espérerez donc pas amener tout le monde au plus haut niveau ». Dans une version moderne, davantage « politiquement correcte », cela devient : « il y a différentes formes d’intelligence ; alors pourquoi voulez-vous imposer les mêmes savoirs scolaires à tout le monde ? ».

Une enseignante fait part de son expérience en classe

Nathalie (prénom d’emprunt) est prof de français et de sciences humaines dans le secondaire technique et professionnel (2e, 4e et 5e), options industrielles. Mariée et mère de trois enfants, deux grandes filles et un jeune ado. Elle travaille dans la région liégeoise. Comment a-t-elle décidé d'aborder l'homosexualité et l'homophobie dans ses cours ?

Le niveau baisse… « Pas assez d’exigence », « trop de compétences »

Les avis des répondants à propos des référentiels et programmes pourraient, à première vue, sembler un peu paradoxaux. D’un côté, ils sont deux fois...

Lettre d’un enseignant écœuré

Le lycée dans lequel j’enseigne a mis en place depuis la rentrée dernière (2010) le dispositif fer de lance de la réforme de l’enseignement des langues vivantes : les fameux groupes de compétences. Nous avons ainsi cédé à l’insistance de l’inspection et de l’administration à nous imposer une manière de travailler que ne rend obligatoire aucun texte officiel, puisque ces derniers se contentent de les proposer ou de les recommander.[[« Les enseignements de langues vivantes étrangères peuvent être dispensés en groupes de compétences, » d’après l’article D312-17 du code de l’éducation]]

Les « joies » des épreuves intégrées dans le 3e degré qualifiant

Laurence Jottard, sympathisante de l’Aped, enseigne le français à l’Institut René Cartigny d’Ixelles. Elle a accepté de recueillir le témoignage de deux collègues… avant de témoigner elle-même de quelques-uns des effets et autres contradictions de l’évaluation par « épreuves intégrées ».

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