Le conflit israélo-palestinien selon deux manuels scolaires : un parti pris inacceptable !

«Si je prends la peine de rédiger une analyse critique de la manière dont le conflit israélo-palestinien est traité dans ces deux manuels, c’est que je suis particulièrement choqué par le parti pris dont ont fait preuve les auteurs des pages concernées. Un parti pris qui ne devrait pas exister dans un livre scolaire digne d’une société démocratique : l’école n’a pas pour mission d’endoctriner les élèves mais bien de les outiller intellectuellement pour les amener à penser par eux-mêmes. Cette accusation est sévère mais la suite de cet article démontrera qu’elle est justifiée.»

Après-Charlie : un premier bilan alarmant

L’émotion qui a tout balayé sur son passage en ce mois de janvier est retombée. L’heure est désormais à un premier bilan. Et le...

Task Force Emploi Formation Enseignement…: toujours le même mensonge !

La Région bruxelloise dispose désormais de l’instrument dont le gouvernement bruxellois souhaitait la doter pour relever le défi de l’emploi en particulier chez les...

Au lendemain de l’attentat contre Charlie Hebdo…

A l’annonce de l’attentat de mercredi dernier au siège de Charlie Hebdo, deux premières pensées, immédiates. Un : j’ai perdu quelques-uns de mes dessinateurs de presse français préférés – je lis actuellement “Le capitalisme en 10 leçons”, de Michel Husson, illustré par Charb -, ainsi qu’un Bernard Maris, alias Oncle Bernard, l’économiste hétérodoxe de Charlie. Deux : c’est un boulevard de plus qui s’ouvre devant l’extrême-droite.

Ségrégation scolaire : la faute au marché plus qu’au quartier

Les opposants aux politiques de régulation des inscriptions scolaire avancent généralement un argument massue : si l’on privilégie une école de proximité, alors les enfants de milieux populaires seront encore davantage confinés dans des écoles ghettos. Cet argument vole en éclats à la lecteur de l’étude intitulée « La ségrégation scolaire, reflet déformé de la ségrégation urbaine », que Bernard Delvaux et Zliz Serhadlioglu publient dans le numéro d’octobre des Cahiers du Girsef. Leur travail constitue d’ores et déjà une contribution scientifique essentielle à la lutte contre les effets néfastes des marchés scolaires.

Il y a les manuels et les intellectuels, non ?

De proche en proche, l’incapacité de nos sociétés à produire un enseignement socialement équitable finit toujours par déboucher sur ce vieux discours justificatif qui affirme, en substance :  « il y a les bons élèves et les moins bons ; n’espérerez donc pas amener tout le monde au plus haut niveau ». Dans une version moderne, davantage « politiquement correcte », cela devient : « il y a différentes formes d’intelligence ; alors pourquoi voulez-vous imposer les mêmes savoirs scolaires à tout le monde ? ».

Une si belle petite démocratie…

« La Belgique est peut-être un pays petit par la taille mais il est grand par la vigueur de sa démocratie ». Tel est le crédo qu’entonnent quotidiennement ministres, députés, chefs de partis, politicologues de tout acabit, experts de tout poil et journalistes de tous médias. Un simple petit coup d’œil à l’actualité de la semaine dernière alimente pourtant quelques doutes sur l’état de santé réel de ladite démocratie. Le pire étant que cette semaine n’avait vraiment rien d’extraordinaire et que l’actualité politique est toujours en « stand by » estival, suspendue à la naissance redoutée d’une kamikaze suédoise...

Pas de ça chez moi!

Les entrepreneurs s’abstiennent prudemment de consommer la junk production qu’ils nous fourguent pour s’en mettre plein les poches. On avait déjà entendu parler de...

Déclaration de politique communautaire : l’analyse de l’Aped

Un melting pot sans grande vision innovatrice. Les quelques bonnes intentions sont dépourvues de moyens. Les dispositions dangereuses, par contre, sont beaucoup mieux ficelées !

Leur réalisme et le nôtre

"Gestion de bon père de famille", "économies" : pour sûr, ils ne vont pas cesser de nous parler de réalisme ! Une mise au point s'impose.

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