La CGSP dénonce la diminution des subventions aux écoles de la FWB
200 militants de la CGSP ont manifesté jeudi 20 septembre devant le siège du gouvernement de la Fédération Wallonie-Bruxelles pour dénoncer les économies envisagées...
Flandre : talents gâchés
Dans un an, ce sont les élections et nous en avons eu conscience, les discussions passées sur les réformes scolaires offrent un triste spectacle. Les hommes et femmes politiques ont été surtout préoccupés par leurs propres feuilles de route et ont oublié l’essentiel : la qualité de l’enseignement et le bien-être de nos élèves et enseignants. C’était une véritable mascarade. Rien n’est encore décidé, il est question seulement d’un plan pour l’avenir, rien de plus. D’ailleurs, les différents ténors expliquent l’accord d’une manière contradictoire.
Des écoles belges enregistrent les empreintes digitales de leurs élèves
L'information qui suit n'a pas échappé à l'un de nos membres. Ce dont il est question - surenchère sécuritaire, management technologique, marchandisation de l'école......
De la relativité du temps… scolaire
Profitant de la canicule de juillet, la ministre de l'Enseignement vient d'annoncer que, pour organiser les activités de «remise à niveau», les écoles pourront réduire les «heures» de cours à 45 minutes au lieu de 50. Progrès démocratique ou bricolage dérégulateur ?
Pour un financement juste : en finir avec les réseaux
Ainsi le gouvernement de la Fédération Wallonie-Bruxelles a trouvé un moyen astucieux de rapprocher les subventions de fonctionnement de l'enseignement libre de celles de l'enseignement officiel : en diminuant les deuxièmes. Il suffisait d'y penser ! L'occasion pour l'Aped de rappeler sa position sur les réseaux.
TSCG : le PS choisit son camp. Et ce n’est pas le nôtre !
Ce jeudi 20 juin à la Chambre des Députés, comme précédemment au Sénat, comme un seul homme, au garde à vous et le doigt sur la couture du pantalon, les mandataires PS ont ratifié le Traité sur la stabilité, la coordination et la gouvernance au sein de l'Union économique et monétaire (TSCG). Un pacte budgétaire qui va nous plonger durablement dans une austérité que rien ne justifie. Ce faisant, les socialistes, de plus en plus bleus, choisissent ostensiblement leur camp. Et ce n’est pas celui du progrès social.
Études inutiles et suppression des allocations de chômage
Étienne de Callataÿ, « chief économist » de la banque Degroof, expert reconnu et très présent sur la scène médiatique, propose de supprimer les...
Supérieur : les étudiants flamands et francophones ont manifesté simultanément
Le jeudi 25 mars, la Fédération des étudiants francophones (FEF) et la Vlaamse Vereniging van Studenten (VVS) organisaient des manifestations dans huit villes belges....
Enseignement secondaire, une mue progressive et insidieuse
Le Rénové, initié dans les années ’70, reste la dernière refonte ambitieuse de l’enseignement secondaire en Communauté française de Belgique. Ce qu’il avait de meilleur a été cassé par les mesures d’austérité prises dans les années ’80 et ’90.
Depuis lors, on assiste plutôt, d’une part, à une succession de déclarations de pieuses intentions (décret Missions, Contrat pour l’Ecole), et, d’autre part, à des réforme(tte)s qui semblent très disparates. Que peuvent bien avoir en commun, en effet, des mesures aussi différentes que la réforme du premier degré (autour d’un tronc commun jusqu’à 14 ans), l’approche par compétences, la discrimination positive, le décret inscriptions, l’immersion linguistique, les classes-passerelles, la certification par unités (CPU), la multiplication des évaluations externes – certificatives ou non -, l’extension des CEFA, les dispositifs d’accrochage scolaire et le développement des Centres de technologies avancées ?
Petit à petit[[Il y a cette tendance des pouvoirs publics à procéder par « expériences pilotes », puis à imposer une généralisation de la réforme (c’est le cas avec les CPU, d’abord testées auprès des mécaniciens automobiles et métiers de l’esthétique).]], pourtant, toutes participent d’un remodelage d’autant plus pernicieux qu’il se fait au coup par coup et que sa logique n’est guère apparente. Dans cet article, nous ferons le point sur quelques-unes de ces mesures… et tâcherons de mettre à nu les logiques sous-jacentes qui les sous-tendent.
La CPU ou comment condamner l’enseignement qualifiant
Marie-Dominique Simonet, tel qu’elle le déclare elle-même, a pour « ambition de refonder l’enseignement qualifiant en valorisant tout son potentiel de formation au service des jeunes et du développement social, économique et culturel de nos régions »[[Référentiel expérimental 3ème degré technique esthéticien(ne), p.2, juin 2011.]]. Projet pharaonique qui s’articule autour d’une grande réforme dans l’enseignement qualifiant : la certification par unités d’acquis d’apprentissage autrement appelée CPU mise en action depuis septembre 2011. Mais, concrètement, que recouvre cette certification ? Comment est-elle mise en place dans les écoles ? Quelle place laisse-t-elle à la formation commune ?