Deux chercheurs de la KU Leuven le révèlent : la répartition entre les écoles des élèves issus de milieux favorisés et défavorisés est de plus en plus déséquilibrée. Surtout dans le primaire et le secondaire. Ségrégation et ghettoïsation gagnent du terrain ! Le choix de filière est de plus en plus lié au niveau social des enfants : le professionnel drainant de plus en plus les enfants pauvres, le général les enfants riches. Selon Groenez et Wouters, c’est la structure même de l’enseignement flamand qui est en cause. PhS (source Belga, 18/11/13)