Aide au développement de l’éducation

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Dans tous les pays développés, les systèmes éducatifs, et particulièrement ceux de l’enseignement de base, sont essentiellement assurés par le secteur public et, à un moindre degré, par le secteur privé. Les ONG – sauf si l’on inclut dans cette définition les syndicats, les associations de parents d’élèves – ne sont présentes qu’à la marge, ou bien pour les activités extra-scolaires. Elles sont cependant actives auprès des populations d’adultes marginalisés, en premier lieu celles de l’ immigration, où le taux d’ illettrisme est important.

En revanche, les ONG du Nord, souvent en coopération avec des ONG locales, sont des caprices significatives du développement de l’éducation dans certains pays du Sud. Leur action peut y être lue de deux manières contradictoires. D’un côté, elles servent à pallier les carences de gouvernements qui n’accordent qu’une place secondaire à l’éducation publique. En ce sens, elles peuvent paraître cautionner l’incurie de ces gouvernements, tout comme l’aide alimentaire sert parfois de prétexte pour ne pas réorienter les systèmes agricoles vers l’auto-suffisance alimentaire. Mais, d’un autre côté les ONG servent souvent aussi de révélateurs des attentes des populations, qu’elles écoutent davantage que ne le font les fonctionnaires locaux. Elles sont aussi souvent porteuses d’innovations pédagogiques. De ce point de vue, elles peuvent jouer un rôle très positif dans la mobilisation des populations pour le droit à l’éducation.

Le Sud en mal d’éducation

D’abord, quelques brefs éléments de cadrage de la situation de l’éducation dans le Sud, qui montrent l’ampleur des problèmes à surmonter pour les gouvernements, et qu’aucun consortium d’ONG ne pourra résoudre à leur place Aujourd’hui, dans le monde 20 % (960 millions d’adultes) de la population de plus de 15 ans est analphabète, et 98 % de ce total vit dans les pays du Sud. Près des deux tiers de cette population est féminine.

140 millions d’enfants en âge d’aller à l’école primaire ne sont pas scolarisés, dont les deux tiers sont des filles. On observe une forte corrélation entre travail des enfants et faible scolarisation. Selon l’Organisation internationale du travail (OIT) et l’UNICEF, 250 millions d’enfants âgés de 5 à 14 ans travaillent, soit un sur quatre dans le monde.

C’est en Afrique que la proportion est la plus forte (41 %), suivie de l’Asie où un million d’enfants (notamment en Thaïlande et aux Philippines) sont contraints à la prostitution. Il faut savoir que 6 milliards de dollars par an suffiraient à scolariser tous les enfants du monde. A titre de comparaison, les budgets d’armement s’élèvent à 700 milliards de dollars.

Des engagements internationaux non tenus

Confrontée a ce constat dramatique, ce que l’on appelle pompeusement la  » communauté internationale  » a tenu des conférences largement médiatisées, mais sans presque aucun effet concret. Comme un mirage dans le désert, les objectifs à atteindre sont reportés à l’horizon de plus en plus lointain au fur et à mesure que le temps passe

En 1990, s’était tenue en Thaïlande, à Jomtien, la Conférence mondiale sur l’éducation pour tous. 155 gouvernements étaient représentés, ainsi que 33 organisations intergouvernementales et 125 ONG. Une déclaration avait été adoptée à l’unanimité, qui avait valeur d’engagement sur l’objectif d’un accès à l’éducation de base pour tous les enfants en l’an 2000. Un soin tout particulier devait être apporté au respect de l’égalité entre garçons et filles dans tous les projets. Dans le même sens, des actions spécifiques devaient être menées a destination des enfants les plus fragilisés : enfants des rues, habitants des zones rurales reculées, etc.
10 ans après, à l’échéance prévue, aucun de ces objectifs n’a été atteint. En avril 2000, le Forum mondial de l’éducation a dressé à Dakar le bilan de ces engagements non tenus. Il a réaffirmé que l’éducation était un droit fondamental et a fixé 6 objectifs approuvés par les représentants de 180 gouvernements et agences internationales, et dont les plus importants sont :
– Faire en sorte que, à l’échéance de 2015, tous les enfants, notamment les filles, aient la possibilité d’accéder à un enseignement primaire obligatoire de qualité et gratuit,
– Eliminer les disparités de sexe dans l’enseignement primaire et secondaire à l’horizon 2005
– Améliorer de 50 % le niveau d’alphabétisation des adultes, et notamment des femmes, avant 2015.
.

Le rôle néfaste des institutions financières internationales

Le dogme néolibéral, souvent résumé dans le  » consensus de Washington « , fait de la croissance un produit de l’expansion du libre échange, de l’intégration dans l’économie globale, de la diminution du périmètre du secteur public, de la flexibilité, etc. Ce fameux  » consensus  » constitue la base idéologique des interventions du FMI et de la Banque mondiale dans les pays du Sud, désignées sous le terme de  » programmes d’ajustement structurel « .

Il est aujourd’hui évident que ces programmes ont fait faillite, comme en témoigne une étude commanditée par la Banque mondiale elle-même, les pays  » bénéficiaires  » concernés et des ONG de développement. Elle était financée par plusieurs gouvernements européens, dont la Norvège, la Suède, la Belgique et l’Allemagne, ainsi que par l’Union européenne. Intitulée  » Les racines politiques de la crise économique et de la pauvreté « , cette étude montre qu’aucun des objectifs poursuivis par les plans d’ajustement n’a été atteint, et qu’ils ont au contraire contribué à diminuer le niveau d’emploi et le pouvoir d’achat, à augmenter le chômage et à provoquer l’effondrement des systèmes éducatifs.

Les institutions financières internationales ont ainsi apporté leur contribution, si l’on peut dire, a l’aggravation d’une situation déjà très grave dans le secteur éducatif.

Cela n’exonère pas pour autant les gouvernements du Sud de leurs responsabilités. Chez un trop grand nombre d’entre eux, la faible priorité accordée a l’éducation publique et la corruption ne font souvent que renforcer les conséquences désastreuses des politiques libérales imposées par les institutions multilatérales.

Les ONG dans l’aide au développement

La résolution 2626 de l’Assemblée générale des Nations unies demandait que chaque pays avancé affecte 0,7 % de son produit national brut (PNB) à l’aide publique au développement (APD). Or les pays de l’OCDE, c’est-à-dire les 29 les plus riches de la planète, sont loin d’avoir atteint cet objectif. Seuls le Danemark, la Suède, les Pays-Bas, la Norvège et le Luxembourg dépassent ce seuil. Les Etats-Unis sont au bas de l’échelle, avec seulement 0,10 %. Pour ne prendre que cet exemple, l’aide publique en Afrique subsaharienne est passée de 32 dollars par habitant en 1990 à 19 dollars 10 ans plus tard.

Parmi les pays européens, la France et l’Allemagne sont, en volume, les deux premiers contributeurs. En revanche, en pourcentage de l’effort de solidarité internationale par rapport au PNB, la France est seulement en sixième position.

Au sein de l’APD, la part accordée au soutien aux ONG dans l’aide publique au développement varie beaucoup d’un pays à un autre. Elle passe d’environ 10 % pour les Pays-Bas à moins de 1 % pour l’Italie et la France. On peut, à cet égard, distinguer trois catégories de pays :
– Ceux qui accordent un pourcentage fort de l’APD aux ONG (7 à 12 %) : le Luxembourg, les Pays-Bas, la Belgique, le Danemark, l’Allemagne, la Finlande et la Suède.
– Ceux qui lui consacrent un pourcentage moyen (de 3 à 6 %) : l’Espagne, la Suisse, l’Autriche et le Royaume Uni.
– Enfin deux pays dont le soutien aux ONG est faible : l’Italie et la France, qui vient au dernier rang.
Il faut aussi se garder de conclusions hâtives quant au rôle des ONG car cette notion ne recouvre pas nécessairement la même réalité d’un pays à un autre.

L’importance accordée par les pouvoirs publics français à l’action non gouvernementale relève de traditions culturelles et administratives, et aussi de choix politiques. Historiquement, la France, Etat centralisé, croit davantage à l’action publique qu’à l’initiative des acteurs de la société dite civile.

L’aide bilatérale française à l’éducation s’élève à environ 1, 4 milliards d’euros (ou de dollars, puisque les deux devises sont pratiquement à parité). L’effort de la coopération bilatérale porte essentiellement sur les systèmes d’éducation formelle. Des fonds publics, mais à un niveau très faible (moins de 1 % du total) sont également attribués aux cofinancements de projets lancés par des collectivités locales ou des ONG en faveur de l’éducation de base. C’est la Mission pour la coopération non gouvernementale du ministère des affaires étrangères qui, à Paris, est chargée de développer les partenariats entre l’Etat et les acteurs non gouvernementaux : collectivités territoriales, associations de solidarité internationale et de volontariat. Pour l’an 2000, ses financements se sont élevés a 35 millions d’euros, dont ont bénéficié 272 organisations.

La plupart des ONG françaises s’inscrivent dans une continuité géopolitique de la présence extérieure de la France depuis l’époque coloniale. Elles interviennent en effet essentiellement dans le monde au moins partiellement francophone : en Afrique (Afrique du Nord et Afrique subsaharienne), mais aussi en Asie (Cambodge, Laos, Vietnam) ainsi que dans les Caraïbes (Cuba Haïti, République dominicaine) et au Moyen-Orient (Liban, Palestinie).

Deux exemples d’ ONG impliquées dans l’enseignement de base : Aide et action et Enfants et développement

La faiblesse comparative de la participation des ONG françaises aux actions en matière d’aide éducative va de pair avec le dynamisme et l’action innovante de la plupart d’entre elles. Je citerai deux exemples : celui d’aide et action, et, plus rapidement, celui d’Enfants et développement.

Aide et action est une des principales associations françaises pour l’éducation des enfants dans les pays du Sud. Dès sa création, connaissant les aléas des aides publiques, elle a choisi de préserver son indépendance financière en optant pour la méthode du parrainage individuel d’enfants par ses membres dont elle tire 85 % de ses ressources. Actuellement, elle mobilise plus de 52 000 donateurs permettant de parrainer la scolarisation de plus de 1 million d’enfants de pays en développement. L’engagement de chaque parrain est de 20 dollars par mois.

Aide et action est inscrite dans le réseau européen Action Aid Alliance qui regroupe 6 partenaires et qui intervient dans plus de 40 pays.

L’association intervient en Afrique ( Bénin, au Burkina Faso, Niger, Rwanda, Sénégal, Tanzanie Togo), en Asie (Inde, Cambodge), aux Caraïbes.

Aide et action a évolué dans sa conception de la solidarité. Au début des années 1980, l’association se concentra ses efforts sur les constructions scolaires, les distributions d’équipements scolaires. Dans le nouveau contexte des années 1990, l’association a considéré que les populations du Sud ne pouvaient pas être les bénéficiaires passives d’une aide apportée par le Nord. Elle s’est orientée vers la formation des personnels locaux auxquels elle transfère la responsabilité des projets. Elle est a l’écoute plus attentive des besoins et des attentes des populations avec lesquelles elle travaille et qu’elle traite comme des partenaires.

Cette fonction d’écoute est fondamentale. La plupart du temps, en effet, les programmes éducatifs sont élaborés dans les capitales par des fonctionnaires et des experts internationaux qui ne tiennent pas nécessairement compte des conditions locales.

Inde, Guinée, Madagascar

De nombreuses expériences du travail d’Aide et action mériteraient être citées. On évoquera seulement ici le cas de trois pays : Inde, Guinée, Madagascar

En Inde, des actions sont mises en place pour professionnaliser les enseignants et les intégrer encore davantage à la communauté. Ils participent aux activités du village, aux associations de parents d’élèves, aux groupements féminins et de jeunes.
L’association appuie aussi des initiatives dans les bidonvilles du sud de Delhi. Elle forme des personnes chargées d’y apporter des services éducatifs, et également des  » motivateurs  » ayant pour mission d’accroître les inscriptions dans les écoles publiques.

En Guinée, devant l’absence de manuels scolaires, un petit groupe d’instituteurs aidés par des parents d’élèves s’est lancé dans la réalisation de livres d’histoire et de géographie adaptés à la région. Ce projet a permis aux enseignants de mieux connaître leur milieu de vie et de travail.

A Madagascar, les conditions sociales des enseignants se sont terriblement dégradées. Mal payés, mal formés, ils sont démotivés. Avec un salaire moyen de 49 euros par mois, un instituteur ayant 6 personnes à sa charge, cas qui n’est pas rare, ne peut plus couvrir ses besoins quotidiens. Aussi Aide et Action intervient dans certaines communautés pour améliorer les conditions de vie des enseignants et pour leur redonner le goût d’enseigner.

Autre ONG française, Enfants et Développement a été créée pour venir en aide aux enfants victimes de la guerre et du génocide au Cambodge et au Laos. Elle mène des programmes de santé primaire et d’éducation, ainsi que de lutte contre la violence. Son but est d’impliquer les communautés bénéficiaires et les partenaires locaux, et de promouvoir les ONG locales et l’émergence de comités de développement villageois.

Un rôle en évolution

.Jusqu’à la fin des années 1980, les ONG intervenaient directement sur le terrain essentiellement au service des populations peu organisées. Il s’agissait de réaliser des projets de développement et de former des responsables aptes à faire émerger des organisations locales.

A partir des années 1990, les ONG se sont trouvées progressivement en position d’appui a des organisations locales, avec une double mission : mobiliser des ressources financières pour les activités de ces organisations ; participer a leur développement institutionnel et organisationnel. Elles ont ainsi vu leur rôle évoluer vers une nouvelle priorité : relayer la voix des organisations du Sud vers les sociétés civiles européennes et vers les instances politiques bilatérales et multilatérales.

Jean-Pierre Velis, auteur du livre Au risque d’innover. Education de base en Afrique occidentale, a pu écrire :  » Il est maintenant universellement admis que réduire la pauvreté, supprimer la faim, protéger l’environnement, développer les communautés de base et soustraire les pauvres au fardeau de la dette sont des priorités. Les organismes publics d’aide ont peu d’expérience dans ces domaines, ou bien rencontrent d’énormes difficultés pour agir : ils recherchent par conséquent de façon active la collaboration des organisations non gouvernementales du Nord et du Sud.  »

Conscientes de ce transfert de responsabilités, les ONG du Nord qui interviennent dans les pays du Sud ne veulent cependant plus servir simplement d’intermédiaires charitables venant au secours de populations lointaines en difficulté. Elles ne veulent plus être les voitures-balais du développement qui pallient les carences des Etats défaillants et les conséquences désastreuses des plans d’ajustement structurel. Elles veulent explorer des solutions alternatives et faire l’expérience de nouveaux types d’actions dirigées vers les couches sociales les plus défavorisées. En même temps, elles se veulent respectueuses des identités locales, ce qui implique de promouvoir de nouvelles formes de relations avec leurs partenaires ;

Ne nous faisons pas d’illusions. Ce ne sont pas les ONG du Nord qui pourront pallier le délabrement ou l’inexistence de systèmes éducatifs de base dans de nombreux endroits de la planète. Seules des politiques alternatives aux plans d’ajustement structurel pourraient dégager les ressources budgétaires indispensables a l’éducation. A cet égard, le FME prend tout son sens aussi bien a la veille que dans le cadre du FSM) ; Ces conditions de rupture avec les politiques néolibérales sont nécessaires, mais non suffisantes : il faut, de plus, une forte volonté politique des gouvernants, surtout en faveur des zones rurales traditionnellement négligées, ainsi qu’une démarche moins bureaucratique de leur part afin qu’ils entendent ce que veulent les populations.

De ce point de vue, le rôle des ONG est largement positif aussi bien au Sud qu’au Nord. On vient de le voir pour le Sud. Mais au Nord, leur action est tout aussi nécessaire pour faire pression en faveur de l’ augmentation de l’APD et, d’une manière générale, en faveur de vraies politiques de solidarité Nord/Sud.

Cependant, la multiplication des ONG n’est pas sans poser des problèmes politiques. On peut déplorer l’utilisation de nombreuses ONG visant á masquer le désengagements des Etats. Il n’est pas toujours facile de savoir ce que représentent les ONG. La difficulté vient, á la fois, de l’indétermination terminologique et du problème, pour beaucoup d’entre elles, de leur dépendance financière vis á vis des pouvoirs gouvernementaux et des institutions internationales.
La question du contrôle des ONG, á partir d’évaluations des objectifs et des résultats, est indispensable.

C’est un débat que, avec beaucoup d’autres, dont Attac, les 18 associations françaises de la campagne  » Demain…l’éducation pour tous  » (comprenant Aide et Action, Afrique Verte, Anima’fac, le CCFD, la Fédération des Clubs UNESCO, le GREF, la Ligue de l’Enseignement, Peuples solidaires, Solidarité laïque, Terre des Hommes) s’efforcent de porter devant l’opinion publique.

55 COMMENTS

  1. > Aide au développement de l’éducation
    DANS LE CADRE DU SOUTIEN AU SECTEUR DE L’EDUCATION EN AFRIQUE Qu’ELLES SONT LES ONG DU NORD QU’ON PEUT CONTACTER PAR EMAIL ?

    • > Aide au développement de l’éducation
      J’aurai besoin des adresses d’ONG susceptibles d’aider au développement du secteur de l’Education en Afrique. Nous avons un établissement d’enseignement secondaire au Cameroun (en zone rurale) et recherchons en ce moment des soutiens pour le démarrage de ses activités lors de l’année scolaire 2005-2006.
      Merci d’avance

      • > Aide au développement de l’éducation
        Je suis professeur (actuellement en poste en France). Je recherche exactement le même type de renseignements.

        Je souhaiterais aussi savoir si votre établissement a un statut privé et en savoir plus sur les moyens et obstacles relativement à son fonctionnement. J’envisage également de fonder (ou de participer à la création d’) un établissement en zone rurale dans un pays d’Afrique.

        Pour me joindre : marcphilo@tele2.fr

      • > Aide au développement de l’éducation
        Je suis intéressé par votre message car moi aussi j’évolue dans le domaine des ongs surtout dans le secteur de l’éducation en RDC/ Kinshasa. je suis Directeur des projets et coopérartion d’une ong local dénommée CAJ càd Centre d’Appui à la Jeunesse, notre mission est l’encadrement de la jeunesse congolaise et enfants militaires ou orphelins victimes de differentes guerres en RDC càd dont les parents furent militaires. Nous existons il y a maintenant 4 ans nous n’avons pas encore bénéficié d’un financement extérieur ou du gouvernement, nous resistons par la politique de l’auto financement. Pour votre information, nous venons d’élaborer un projet sur l’éducation civique et électorale en cette période preparatoire des élections en RDC qui est une première depuis l’independance en 1960, basé sur l’encadrement de la jeunesse congolaise au respect de valeurs civiques et choix electoral. pour lequel nous cherchons de financement pour la campagne de sensibilisation et conscientisation. En plus, un autre projet sur la « promotion et vulgarisation de l’informatique et internet en milieu rural et urbanisé » Je serai reconnaisant de votre aide en matière d’orientation et échange des vues pour le developpement de l’éducation en Afrique.

      • > Aide au développement de l’éducation
        Actuellement en formation en Logistique,
        J’aimerais bien évoluer dans le domaine des ONG ceci à fin de mettre en pratique la logistique humanitaire que j’ai eue à survoler mais et que je n’ai pas assez pratiqué.
        Pourquoi pas mettre à la disposition des nécessiteux mon savoir-faire partout besoin se fait ressentir à fin de joindre l’utile à l’agréable .

        ancien rédacteur en chef adjoint du journal Croissance Afrique Centrale
        & journaliste Marché Emergents d’Afrique 1999-2001,
        Ancien chroniqueur au journal Le Démocrate, échos économiques.
        Mon contact michelngouenes@yahoo.com

      • > Aide au développement de l’éducation
        Je reste ouvert toute proposition allant dans le sens du développement du secteur de l’éducation en zones rurales désintégrées dans le continent africain. Actuellement Chargé d’enseignement dans plusieurs institutions universitaires privées en Afrique Centrale, je suis sensible à tout ce qui touche l’éducation des jeunes.
        Les gouvernements africains ayant, pour ainsi dire, démissionné de leurs obligations d’encourager et de financer l’éducation des jeunes. L’essentiel des ressources de l’Etat est capturé par le financement du secteur de la Défense nationale lorsque les fonds n’attérissent pas dans les poches des gouvernants. Réné Dumont n’avait pas tort : l’Afrique noire est toujours mal partie.

        Dr. Bertrand Feumetio,
        Ph.D. In Business Administration.
        Expert Consultant Economiste à Bruxelles et à Washington, DC.

        Auteur des ouvrages tels « Cameroun, Radioscopie d’une économie das le sillage de la Fallite » (édité en 1992), « La dévaluation du franc CFA, une opportunité pour sortir les Etats de la zone franc de l’impasse » (éditée en 1994), « Essai de signification du triomphe du président Omar Bongo » (édité en 1998) et « Sortir les Etats d’Afrique Centrale de la crise – Impasses récentes et Perspectives nouvelles » (édité e 2005).

        Fondateur et PDG du Groupe de Presse Marchés Emergents (Editeur des titres : Marchés Emergents d’Afrique, Croissance Afrique Centrale & Perspective Nouvelle Gabon)

        email : bfeumetio@hotmail.com / efeumetio@yahoo.fr

      • > Aide au développement de l’éducation
        Bonjour monsieur…
        Comme convenu je viens vous faire part de mes nouvelles…je suis issu d’une famille polygame je vis avec mon papa et nous sommes nombreux(enfants)mais ma maman n’est plus là.je suis éleve agé de 17 ans en classe de 2nd au Bénin qui aimerait solliciter votre aide pour continuer mes études…
        Dans l’espoir d’une suite favorable veuillez agréer l’expression de ma profonde gratitude

      • > Aide au développement de l’éducation
        slt betrand moi c’est angella ,je suis de la cote d’ivoire je voudrais une ong qui pourrait m’aider au sujet des orphelins etn des descolarisés, je pense queb tu pourras m’aider.tu peux me joindre au angdelove78@yahoo.fr s’il te plait j’attends vite ta reponse.ok bye

      • > Aide au développement de l’éducation
        Je suis professeur en cote d’ivoire, je voudrais vous dire que votre projet nous intéresse car des amis professeurs et moi ,sommes entrain de realiser une école secondaire dans une zone rurale.Nous venons de construire un prémier batiment de 4 classes. Nous avons besoin actuellement d’une aide matérielle pour le fonctionnement(table banc,matériel de laboratoires en sciences,de geométrie, de bureau administratif…si possible un ordinateur pour nos saisies.) pour plus d’informations: nguessan_clement74@yahoo.fr

      • > Aide au développement de l’éducation
        J’avais eu la même idée pour le Cameroun. Pourriez vous me dire dans quelle région s’ouvrira cette école? Pour ma part j’évaluais la réussite de ce type de projet par la proximité de la capitale politique Yaoundé. J’aimerais en parler avec vous par la suite.

    • > Aide au développement de l’éducation
      NOus sommes une Organisation non gouvernementale à caractère social qui forme les filles adultes et demunies dans les domaines de la coupe et outure, esthetique et informatique. pour la plupart, ces filles ont déjà mit au monde mais négligées par les auteurs de leur grassesses. c’est pourquoi, nous les recuperons et les encadrons en divers metiers pour les permettre à devenir capable à se prendre en charge ainsi que leurs enfants.

      Notre centre de formation se trouve sur l’avenue Kianza n° 82, Q. Mukulwa dans la commune de Ngaba à Kinshasa/République Democratique du Congo.

      Nous manquons les materiels et machines nécessaires pour leur donner une bonne pratique:
      -machines à coudre
      -Materiels esthétique et produits
      -ordinateurs

      C’est pourquoi, nous sollicitons votre appui qui contribuera à l’amelioration des conditions de vie des filles congolaises.

      Notre organisme est autorisée à fonctionner par l’arraté du ministre des affaires sociales n° 0184/2005 du 22 juillet 2005 et doté d’une personnalité juridique du ministère de la justice n° 0245/2007 du 04 octobre 2007.

    • > Aide au développement de l’éducation
      je lance un cri de détresse pour la construction d’une école dans le Nord de la cote d’Ivoire dans le département de ferkessedougou et principalement dans mon village natale qui s’appelle LAFILE ;UN gros village ou vivent plus 300 âmes mais impossible de construire une école le village même est entoure de 03 autres villages.
      nous demandons de l’aide à toute personne pouvant nous aider
      00 225 05 97 16 82 / 00 225 66 77 30 26 / 00 225 20 30 46 00 p 146

    • > Aide au développement de l’éducation
      Bonjour! Nous contribuons ici, sans grande cinviction à ce furum; parce que dans l’ignorance de ce qui peut nous être demandé. Mais s’agissant de l’aide au développement de l’éducation, en Afrique (Noire notamment), le constat est que cette aide est plus urbaine que rurale. nous voulons dire que les ONG du Nord, qui viennent en Afrique, s’installent dans les villes ‘capitales et chefs -lieux de province, particulièrement. Très peu vont voir la misère éducative qu’il y a dans les villages, au fin fond des campagnes: effectif pléthaurique, absence criarde d’infrastructures d’accueil, salles de classe délabrées qui donnent plutôt envie de ne pas aller à l’école; manque criard d’enseignants, mauvais encadrement financier des bénévoles qui acceptent d’encadrer pédagogiquement les enfants villageois. Dans la pure logique du principe selon lequel on ne prête qu’aux riches,les aides au développement (qu’elles soient gouvenementales ou privées) vont plus au villes et moins sinon pas du tout au campagnes qui en ont pourtant grand besoin. Pourquoi? Personne ne vous l’explique. Nous sommes l’exemple vivant des victimes de cette discrimination. Nous frappons depuis aux portes des ONG pour demander qu’on nous aide à viabiliser l’école de Ngoubou, notre village. Surtout à réparer le puits de l’école(21m de fond) qui est en panne depuis bientôt dix ans, personne ne veux de nous. Nous avons écris, rencontré des DIRECTEURS D’ONG présentes au Cameroun. Ils nous ont donné des promesses, mais aucune n’a été tenue à ce jour. Que faire devant ce manque d’eau potable pour les 310 enfants de l’école? Nous continuons de nous poser cette question. Alors, que peut APED pour nous?

  2. > Aide au développement de l’éducation
    Comment participé activement à ces programmes d’aide au développement ?
    ancien rédacteur en chef adjoint du journal Croissance Afrique Centrale
    & journaliste Marché Emergents d’Afrique 1999-2001,
    Ancien chroniqueur au journal Le Démocrate, échos économiques.

    Actuellement en formation en logistique
    J’aimerais bien évoluer dans le domaine des ONG ceci à fin de mettre en pratique la logistique humanitaire que j’ai eue à survoler mais et que je n’ai pas assez pratiqué.
    Pourquoi pas mettre à la disposition des nécessiteux mon savoir-faire partout besoin se fait ressentir, à fin de joindre l’utile à l’agréable

    • > Aide au développement de l’éducation
      participer a la construction de l Afrique c est ma devise contactez moi pour que ensemble on trouve des voies et moyens pour y parvenir mais avant tout soyons patriote j attend vos propositions sur http://www.ngouene.skyblog.com
      mic sokeng

  3. > Aide au développement de l’éducation
    voila j’ai lu cet article avec attention car je fais moi même parti d’une association (la croix rouge)

    je suis pour l’aide au pays du tiers monde

  4. > Aide au développement de l’éducation
    BONJOUR
    NOUS AVONS UNE ONG AU NOM ESDES QUI LUTE POUR LA PROMOTION DES DROITS DES ENFANTS EPANUISSEMENT DES ENFANTS DESHERITES.

  5. > Aide au développement de l’éducation
    Internationale Afrique Aidons est sur un projet simulaire en republique centrafricaine pour 2006.nous aurons besoin de expertiser et du soutien de tous.je suis le général manager pour l’Afrique Centrale de l’ouest.Nous sommes dans 13 pays en Afrique et nos priorites pour cette année : » l’éducation pour tous ».

    • > Aide au développement de l’éducation
      Bonjour

      Nous sommes deux jeunes femmes, desirant partir cet hiver 2006-2007 en Afrique de l’ouest (Mali, Burkina Faso, Togo). Nous serons en camping car, et avons donc la possibilité d’acheminer livres, crayons, medicaments, jouets…
      Nous recherchons différents contacts sur place (ecoles, dispensaires, hopitaux) et ong. En projet:
      -Education /scolarisation,
      -Aide aux enfants défavorisés
      De plus, nous prenons tous les conseils que vous pourriez avoir à nous communiquer sachant que nous ne sommes jamais parties en Afrique.
      Toutes deux diplomées d’un bac +4, nous sommes ouvertes à toutes opportunités de se rendre utiles sur place (Enseignement, Chantier, Aide sanitaires et sociales, orphelinat).
      Toutes deux educatrices sportives, nous travaillons quotidiennenement avec des enfants.

      Merci de votre attention et de vos conseils.
      marie-navigue@hotmail.fr

      • > Aide au développement de l’éducation
        Bonjour,
        Je vous écris au nom d’une ONG nigerienne denommée Adkoul; Adkoul signifie Developpement en Tamajek ( la langue des Touareg); Nous travaillons plus particulièrement dans le domaine de la scolarisation des enfants nomades dans le la partie nord du Niger. L’ONG Adkoul a executé déjà quelques projets dans ce sens: appui en fournitures scolaires, appui à la cantine scolaire, appui en medicaments, jumelage école nigerienne et école française. Notre organisation sera hereuse de vous accueillir bien que le Niger n’est pasq cité parmis les Pays d’Afrique de l’Ouest qui sont votre destination. En cas d’acceptation de notre proposition, nous vous enverrons plus d’informations sur qui nous sommes et ce que nous faisons.
        Nos amitiés.
        A bientôt j’espère

      • > Aide au développement de l’éducation
        bonjour,
        je suis vraiment intéressé par votre action d’aide à l’éducation,car je suismois aussi encadreur (inspecteur de l’enseignement de base),mais vous n’avez pas cité mon pays de lieu à visiter.je vous demande si vous pouvez un effort de visiter mon pays et voir ses réalités et peut-être le programmé pour une autre fois.merci
        mahamadou antché

      • > Aide au développement de l’éducation
        bonjour, j’ai lu votre article et je suis encore dans l’enseignement des enfats defavorisés depuis1994
        je compte ouvrir mon école car malgré le sureffectif qui règne le salaire ne convient pas à çà
        en fait j’ai 30 élève et ne gagne que 30 euros,c’est pour cela que je cherche _un partenair pour que je puisse ouvrir une école et suivre en même temps les formations à l’étranger pour enrichir ce que j’avais ici avec certains directions qui nous en donnent pendant chaque vavances scolaires
        dans l’attente d »une suite favorable de votre part ,veuillez agréer à mes salutations les plus respectueux

      • > Aide au développement de l’éducation
        Bonjour
        Nous venons à l’instant de lire votre message et nous nous empressons de vous ècrire.
        Nous sommes en effet une jeune école située dans la banlieu nord de la ville de Lomé capitale du Togo Nous nous débattons dans d’énormes difficultés dues à la situation économique de notre pays. Si ce n’est pas trop tard(Si vous n’avez pas encore passé au Togo), nous vous prierions respectueusement de bien vouloir nous rendre visite
        A bientôt

      • > Aide au développement de l’éducation
        Bonjour
        nous sommes heureux de constater que des etres humains pensent au
        bien etre et au developpement des enfants africain en situations difficiles.reçevez nos remerciements.Nous serons heureux de vous reçevoir sur notre terre et de vous voir
        au cote de nos chere(s) soeure et freres pour leur porter cette aide que notre pays le Benin
        espere,si elle est sincere.Nous sommes une association qui milite pour la scolarisation et le soutien des enfants au benin.
        Faites nous signe si vous voulez travailler avec nous:asamu_ami@yahoo.fr
        Merci bien et esperons votre reponse.
        Bye

      • > Aide au développement de l’éducation
        Je suis Béninois vivant au Bénin, pays limitrophe du Togo.
        Je suis aussi membre d’une ONG oeuvrant dans le domaine de l’éducation;les TIC et le développement local.
        Si vous le désirez, notre ONG peut travailler avec vous et nouer une relation de partenariat.

      • > Aide au développement de l’éducation
        Bonjour,
        j’ai lu les commentaires de la personne béninoise dont l’association oeuvre dans le domaine de l’éducation , les TIC et le développement local. Je fais partie d’une association au Bénin qui a les mêmes objectifs et aimerais bien entrer en contact avec elle. D’autant que nous nous posons la question des meilleurs types d’usages de l’internet par les jeunes d’un village. Merci

    • > Aide au développement de l’éducation / Investir dans l’Education
      Investir dans l’Education dans une zone rurale en Afrique Centrale (Cameroun)

      Hommes d’affaires résidant au Cameroun (en Afrique centrale) oeuvrant dans l’éducation et le social, propriétaire d’un complexe éducatif agréé par le Ministère de l’éducation nationale par arrêté N° 150/j2/2976/MINEDUC/sg/dep/scafes/secp du 27/09/1996 sous la dénomination

      COLLEGE BILINGUE CHERE SABINA,

      Recherche partenaire ou ONG pour la relance et l’exploitation dudit complexe qui fonctionnait sur les régimes internat/externat et ouvert aux jeunes de tout horizon national et international.

      Situé au Cameroun dans la province de l’ouest, département de la
      Menoua, arrondissement de nkong-ni à 10 km du centre urbain de Dschang (3e ville universitaire du Cameroun), le complexe actuellement vacant et flambant neuf est composé de :

      -16 grandes salles de classes au rez-de-chaussée
      -16 salles de classe à l’étage
      – Des ateliers spécialisés et équipés selon les spécialités qui
      suivent:Economie Sociale et Familiale;Génie-civil;Méca-auto;Industrie
      bureaux,de l’habillement et Electricité d’equipement
      -1 bloc administratif de 8 bureaux
      -1 bloc internat avec réfectoire,dortoir garçon et dortoir
      filles,toillettes modernes)
      -des aires de jeux

      Le tout dans un enclos conforme et répondant aux normes requises et aux règles de l’art, le complexe est un investissement d’environ 350.000.000 (trois cent quatre
      vingt millons de francs CFA), soit environ 560 000 euros.

      Pour plus de renseignements et une éventuelle visite du site contactez-nous :

      237 986 03 75 ou 237 972 56 76 FAX s/c 237 345 18 69

      e-mail : bertrand92@voila.fr

    • > Aide au développement de l’éducation
      Je cherche à partager mon expérience en matière d’élaboration de programmes de formation selon l’Approche par Compétences avec des ONG oeuvrant en Afrique. Je suis Directeur des études dans un établissement privé depuis une douzaine d’années. fall92003@yahoo.fr

  6. > Aide au développement de l’éducation
    c’est avec intérêt que j’ai lu votre article. Je suis une sénégalaise et j’enseigne dans une école maternelle en banlieu dakaroise. Aujourd’hui consciente de l’énorme défit que pose l’éducation des enfants en milieu défavorisé, je souhaite moi-même ouvrir un jardin d’enfant dans mon quartier où ce genre institution fait défaut. ce serai contente de tout aide ou soutien de nature à m’aider à réussir ce rêve.

    • > Aide au développement de l’éducation
      bonjour, chère collègue
      Je suis enseignante en école maternelle en France, à Sens, petite ville située à 12O km au sud de Paris.
      je ne réponds pas directement à votre demande, mais je saisis l’occasion de prendre contact à la lecture de votre message (dans L’école démocratique Aped)
      Afin de faire l’année prochaine un travail sur l’Afrique, mes collègues et moi sommes à la recherche d’une école maternelle africaine avec laquelle nous pourrions correspondre.(internet serait l’idéal)
      Cela vous interesserait-il? ou quelques collègues que vous connaissez?
      Nous pensons qu’un travail mené avec les enfants autour de la description (pour d’autres enfants) de leur vie (les objets qui les entourent, leur habitat, leur famille, leurs habitudes de vie, etc…) pourrait non seulement enrichir leur ancrage dans la réalité, mais être un motif d’échanges, d’éveil à la curiosité ,à la connaissance et à la tolérance…
      si par bonheur vous étiez interessée, si vous avez des informations sur d’éventuelles écoles, ou si simplement
      vous souhaitez me répondre, j’en serais très heureuse…
      Bien cordialement à vous, Danielle Desnoues

      • Recherche d’aide et de partenariat pour l’éducation des enfants
        AMBALANOMBIKAMOA TSIMENATSE II, BP 1056
        Toliara 601 MADAGASCAR
        N° tél.: 032 41 438 15 ; 032 02 96 052 ; 033 14 123 57
        E-mail : clairiere4@yahoo.fr

        Mesdames, Messieurs,
        Nous représentons une Ecole Privée dénommée Ecole Privée la Clairière, sise dans la ville portuaire de Toliara-Madagascar. Notre établissement est du type non confessionnel, indépendant politiquement et sans affinité d’ordre ethnique. Nous sommes en régime mixte et nous nous efforçons d’effacer les clivages relevant de la distinction des sexes. Ainsi, nous portons haut les idéaux de démocratie, de liberté, d’égalité de chance face à l’éducation et à l’emploi pour les jeunes générations, en vue d’un développement réel de notre pays qui ne mérite pas son rang dans le peloton de queue des pays africains.
        Notre langue d’enseignement est le français et notre première langue étrangère l’anglais. Le contenu du programme est aligné sur le programme officiel malgache d’enseignement général ; les examens sont officiels et les diplômes délivrés par l’Etat. L’Ecole Privée la Clairière se répartie dans deux Provinces. Dans notre Maison Mère de Toliara-ville, nous bénéficions de l’aide d’une soixantaine de personnels enseignants pour encadrer un millier d’élèves, partant du jardin d’enfant à la classe de troisième, avec des sections parallèles et uniques. Nos élèves sont généralement issus de milieu modeste, un grand nombre d’entre eux, plus de trois cent, sont orphelins. A propos de ces derniers, nous aimerions bien en prendre plus à nos charges, de manière plus distincte, sous régime d’internat, mais nos moyens actuels ne le permettent pas. Nos ressources financières se limitent aux écolages versés par les parents et aux rares subsides de l’Etat. Il en est de même pour notre Maison fille de Fianarantsoa, sur les Hauts plateaux : environ deux cent cinquante élèves et une quinzaine d’enseignants.
        Nos efforts pour continuer à progresser consistaient à nous associer avec le plus grand nombre de partenaires locaux excellant notamment dans l’enseignement ; ainsi, nous nous sommes liés à une association nationale des Ecoles Privées, désignée par le sigle DNEPM. Ce genre de démarche n’offre cependant qu’une potentialité limitée : nous aspirons à de plus grande forme de partenariat, de subventions ou même de dons particuliers, en offrant ce qui pourrait l’être de nos modestes moyens, que ce soit de la part de nos élèves, de notre corps enseignant, appréciable à travers nos résultats pédagogiques ou d’insertion professionnelle. Il peut être envisagé un échange d’élèves en colonie de vacances, de simple hébergement dans nos locaux, suivi de déplacement accompagné, dans nos contrées ayant de grandes vocations touristiques. Nous sommes certes une institution d’enseignement du primaire et du secondaire, mais des étudiants étrangers de niveau supérieur, en voyage d’étude, pourront disposer de nos offres. Ces dispositions, du point de vue administrative et fiscale, n’auraient aucun objectif spéculatif, propre à être imposable. Elle permettront cependant à nos partenaires, d’un côté, d’éviter des frais de séjour exorbitants, de disposer de possibilités de découvertes humaines et culturelles plus élargies et leur offrira un accueil personnalisé et plus convivial. Nous pouvons offrir nos emplacements dans les deux provinces, avec leurs caractéristiques naturelles et sociales respectives. Notre force est l’hospitalité et la gentillesse de notre grande famille, celle de nos concitoyens, la sérénité de nos quartiers et de nos campagnes, la beauté de nos sols et forêts. L’air du temps, dans les pays modernes, en est à la convivialité, aux découvertes culturelles, aux échanges, aux voyages et aux loisirs : nous aimerions être la tête de pont de cette mode sur notre littoral et notre part de zone montagneuse. Nous n’avons pas à déplorer de cas de grands banditismes liés à la drogue et aux divers trafics, observables dans des pays proches. Nous pouvons offrir tout cela. En contrepartie, nous désirions bénéficier de matériels et autres moyens d’enseignement, de toute forme d’appui susceptible de nous amener un horizon plus étendu de développement sur le plan éducation et santé.
        Actuellement, nos moyens didactiques sont limités à des livres scolaires réduits en nombre et en contenu. Nous possédons un ordinateur en marche et deux déjà trop usés, dont l’entretien ne sera que pure perte, idem pour une imprimante déjà en bout de course. Nos travaux informatiques sont donc limités à l’apprentissage et aux simples saisies. Nous aimerions disposer d’ouvrages plus modernes, plus étoffés, du genre littéraire, scientifique, historique et connaissance générale ; autant que possible de dictionnaire et d’encyclopédie. Nous aimerions ouvrir un laboratoire de Sciences et Vie de la terre, d’autres de Sciences physiques, d’informatique et de langues étrangères. Les matériels qui sont destinés à ces salles sont encore à réunir : maquettes de démonstration, appareils divers, verrerie, substances chimiques, matériels électroniques de mesures, mais surtout : ordinateurs avec les périphériques de base comme les imprimantes, onduleurs, stabilisateurs, scanner, haut-parleurs, graveurs, lecteurs CD. Il nous faudrait des logiciels de simulation, d’exploitation de données, d’apprentissage de langues. Des photocopieuses serons aussi les bienvenues, des caméras numériques, des matériels de projection, des diapos et des appareils de sonorisation pour nos occasions de festivité ou de porte ouverte.
        Le temps présent est à l’e-gouvernance et aux échanges sur l’Internet : nous ambitionnons donc pour nos Ecoles la connexion sur l’Internet et, déjà, nous avons notre branchement téléphonique, en attente d’exploitation. Il est donc souhaitable que nous ayons des modems ou un système électronique de mise en réseau.
        Un de nos soucis majeurs est aussi la création d’une infirmerie scolaire, pour faire face aux problèmes de santé nombreux dans notre région, notamment les maladies liées aux voies respiratoires, à la peau et à l’alimentation.
        Nous sommes au courant de l’existence d’un projet international, sous l’égide des Nations Unies, devant amener à l’avènement d’un «ordinateur par écolier », qui coûterait dans les cent dollar : si ce projet se réalise, il pourrait contribuer à nos propres projets, mais dans une moindre mesure : un ordinateur aux capacités mnémoniques et de prises en charges de périphériques limitées ne pourrait pas contribuer à des travaux de labo ou aux téléchargements de données appréciables.
        Pour nos ateliers d’apprentissage de la cuisine, de la couture et de la broderie, il nous faut aussi des machines à coudre et le nécessaire de base : lots de fils colorés, dés à coudre, matrice, réglettes, catalogues, jeux d’épingle, de fers à repasser et de patrons.
        Nous aimerions que vous nous aidiez sur tous ces besoins, que ce soit de manière directe, ou de par l’intermédiaire de personne physique ou morale de votre connaissance.
        Nos locaux sont actuellement des maisons louées auprès de particuliers. Nous aimerions bien acquérir nos propres locaux, ou faire des contrats de vente location. Tout ceci sera conditionné par un accès à des crédits, toute forme de financement contractable auprès de partenaire.
        Nous aimerions aussi attirer votre attention sur l’aspect suivant des conditions d’exportation vers notre pays : certains frais de douane sont requis, quand bien même les marchandises sont accordées à titre de dons ; les fournisseurs sont donc très souvent dépités par l’échec de leur envoi, de par le passé, pour diverses institutions n’oeuvrant que pour le socioculturel et l’enseignement. Il faudrait prévoir ce genre de facteur de blocage et mettre ces frais dans les accords initiaux. Si l’Etat offre de meilleures dispositions, ceci resterait encore à vérifier et nous avons tout à redouter des réglementations particulières des services de douanes plus ou moins réorientés à la gestion privée, chose qui n’est pas mauvaise en soi, mais qui recèle souvent des surprises et des imprévus divers.
        Dans l’attente impatiente d’une réponse favorable de votre part, nous vous exprimons, Messieurs, Mesdames, nos salutations les plus distinguées.

      • > Recherche d’aide et de partenariat pour l’éducation des enfants
        Bonjour,
        Enseignant dans un lycée Français , nous mettons en place un projet avec les élèves sur de nombreux thèmes liés au développement durable. Nous sommes à la recherche d’enseignants ou associations demandeurs de matériels scolaires ( manuels , appareil de sciences SVT, SPC , ordinateurs , magnétoscopes..) que nous n’utilisons plus mais qui peuvent sans doute rendre d’immenses services. Votre courrier , bien qu’ancien , m’a interpellé, nous sommes prêts à nous investir dans une action efficace pouvant faire intervenir d’autres établissements . Notre objectif est double , aider les jeunes des régions pauvres et orienter les préocupations de nos élèves vers des sujets fondamentaux comme ceux de l’accès au savoir et à l’éducation.
        JF Daux Lycée S.Weil 42272 St Priest en Jarez France ( Sciences Physiques , Informatique )
        jean-francois.daux@voila.fr

      • > Recherche d’aide et de partenariat pour l’éducation des enfants
        Bonjour,
        Je vous écris au nom d’une ONG qui oeuvre pour l’éducation et la formation professionnelle au Niger. Nous travaillons plus particulièrement dans le zone nord du Niger auprès des plus demunis. Le Niger est l’un des pays les plus pauvres de la planète: le taux de scolarisation est de 25% et celui d’alphabétisation de 18%.
        Nous sommes interressé d’entreprendre ce genres de projets avec vous.
        Meilleures salutations.
        Contact: ONG Adkoul, BP: 161 Tahoua
        Tel: 227 99 32 88
        E-mail: ongadkoul@hotmail.com

      • > Recherche d’aide et de partenariat pour l’éducation des enfants
        Bonjour,
        c’est avec un véritable plaisir que j’ai lu votre message qui m’ a fortement intéressé dans son contenu.En effet en tant qu’en encedreur dans mon pays le Niger, je suis fortement intéressé par la question éducative car cela me tiens à cœur.
        Je suis un imspecteur de l’enseignement de base en formation qui d’ailleurs vient de prendre fin. J’attends une affectation pour l’intérieur de pays où la question de moyens matériels se pose avec accuitée car vous m’étes pas sans savoir,que mon pays vient d’être classé dernier en indice de développement humain (IDH)par le rapport du PNUD pour l’année 2006.Donc eu égard à tout cela ,dire que nous avons besoin de votre d’aide n’est plus à démontrer.votre aide va substantiellement réhausser le développement de l’éducation au Niger.
        merci d’avance
        Mahamadou Antché
        Ecole Normale supérieure de Niamey /NIGER
        BP.10963NIAMEY
        Tel.22796596185

      • > Recherche d’aide et de partenariat pour l’éducation des enfants
        Bonjour,
        Je représente une école privée au Congo-Brazzaville dénommée Institut E-MATTHIEU qui va de l’école maternelle jusqu’en 3ème. Notre école souffre d’un mal connu de tous les systèmes éducatifs africains: le manque des matériels didactiques et appareils tels que les ordinateurs, magnetoscpes… faisant évoluer les cours normalement comme il se doit.

        Par conséquent , nous avons grand besoin de votre aide pour faire valoir notre savoir -faire et pour sécourir certains enfants qui n’arrivent pas se procurer, ne fusse-que des manuels compte tenu des coûts très élevés des ouvrages vendus au Congo .

        Espérant que notre cri de detresse retiendra votre attention et trouvera une suite favorable avant la prochaine rentrée scolaire 2007-2008.
        *Pour me joindre: imatthem@yahoo.fr
        Merci d’avance !

      • > Recherche d’aide et de partenariat pour l’éducation des enfants
        Bonjour Monsieur Jean François,
        Je viens de vois très tardivement votre message mais l’espoir de trouver encore quelque chose je viens vous répondre.
        Je suis Directeur d’une école privée laïque située dans la banlieue de Dakar au km 16 route de Rufisque à la Cité Rochette dans l’IDE de Thiaroye.En effet l’école est créée en 1999 et compte 12 classes. Pendant les deux premières années je conduisais moi-même les enfants par petits groupes dans un centre privé situé à 1,5 km après les classes du soir pour qu’on leur des initiations en informatique où je payais 1000 F CFA/mois et par élève.Il a quitté les lieux au bout des deux ans. Depuis lors j’ai fait plusieurs démarches mais en vain. Nous enfants dont l’effectif total est 502 élèves du jardin au collège en passant par le primaire n’ont plus la chance de continuer cette initiation.Nous sommes toujours à la recherche d’une occasion et nous comptons beaucoup sur vous.
        Merci d’Avance

      • > Recherche d’aide et de partenariat pour l’éducation des enfants
        Chers collègues, bonjour!
        C’est avec une grande joie que je découvre votre offre de matériel didactique. Professeur de Lycée retraité, je suis président de l’APE de l’école de Ngoubou (Akonolinga – Cameroun). Nous cherchons depuis quelle âme charitable peut nous procurer des ordinateurs hors d’usage, des livres et autres appareil à vocation didactique. Depuis janvier 2004,Le Lycée de Saint Aubin des Coudrais à mis à notre disposition 7 ordinateurs. Mais nous ne pouvons les avoir ici à Akonolinga, Cameroun, faute de moyens de transport. Que pouvez-vous faire pour nous? Pouvons-nous espérer avoir de votre part quelques livres et surtout ordinateursq hors d’usage? Merci de nous informer de la décision que vous aure prise. Avec les sincère merci de ceux que nous sommes et restons, vos obligés.

      • > Aide au développement de l’éducation
        je suis malien j’ai achété un terrain par une agence immoblière avec un niveau de viabilisation trés élévé en face d’un espace vert pour construire une école maternelle et faire de l’espace vert comme lieu de recreation des enfants en convenace avec l’agence de gestion immobilière.
        cette école maternelle sera faite pour des enfants du milieu défavorisé.
        Je cherche des partenaires pour la construction de et l’équipement de l’école et le l’espace vert.
        mon mail : freddie_bijeon@yahoo.fr

      • CADRE INTERRESSANT A VOUS PROPOSER
        je suis monsieur Jacques, ivoirien possédant un terrain amenagé ayant servir de Centre de Formation Professionnelle dans une ville de la COTE D’IVOIRE.

        je desire mettre ce cadre en vente ou avoir des personnes de bonnes volontés pouvant m’aider à la reouverture de ce C.F.P.

        je vous remercie de bien vouloir agreer mes sentiments les plus distinguées.

      • > Aide au développement de l’éducation
        Nous sommes une association qui a été mise sur pied pour promouvoir le développement de l’éducation dans notre ville au Sénégal. Le village compte une école primaire et une maternelle, qui ont plus que besoin d’un appui de diverses formes pour offrir un un service adéquat aux enfants en situation difficile, issus pour la plupart de familles démunies. Si vous etes intéressés contactez nous à l’adresse de l’association ndiorno@yahoo.fr ou au walaye76@yahoo.fr

  7. > Aide au développement de l’éducation
    Bonjour,

    je suis enseignantdans le premier degré. J’ai récolté dans une remise de mon école plusieurs dizaines de séries de manuels scolaires (méthodes d’apprentissage de lecture, livres de français et de maths de CP à CM2) que je désirerai faire parvenir à des pays francophones. Il m’est possible d’en récolter au moins 3 fois plus le cas échéant. Je ne sais malheureusement à qui m’adresser pour ce don. Pouvez-vous m’aider dans cette démarche?

    Merci par avance. jeanpascal.gaboyer@free.fr

    • > Aide au développement de l’éducation
      j’ai une ecole « LES OLIVIERS » ecole d’expression française ,maternelle à la primaire. J’ai deja demandé de l’aide dans differentes associations mais pas de reponse positive Je profite de votre proposition pour vous dire que toute aide materielle pour les enfants sera la bienvenue.

      Merci de votre prompte reponse.

      • > Aide au développement de l’éducation
        Si vous ignoriez qu’il existe des classes à double flux, des effectifs de plus de 100 élèves par classe, des élèves qui s’asseyent à 3 voire 4 par table banc, des écoles sans murs de cloture,sans manuels, sans électricité …etc Eh bien sachez que cette situation que nous venons de vous décrire est réelle. C’est pour la changer que l’association pour le développement du village de Ndiorno (ADN) a été créee. Cependant depuis sa création en 2006, l’ADN peine à trouver un partenaire stratégique. Alors si vous partagez avec nous le défi d’améliorer qualitativement les conditions d’études de ces enfants, de l’Afrique de l’Ouest, prenez contact avec l’association aux adresses ndiorno@yahoo.fr et walaye76@yahoo.fr

    • > Aide au développement de l’éducation
      MONSIEUR,
      suite à la lecture de votre message diffusé en aout dernier, je me permets de vous envoyer mon contact au cas où vous seriez intéressé.En effet, j’habite la région parisienne où j’achève un master1 en sciences de l’éducation qui je l’espère me permettra de continuer le travail que mes parents ont commencé en afrique, au cameroun précisemment en créaant un groupe scolaire pour les enfants défavorisés.
      A cet effet, nous sommes à la recherche de doateurs en materiel scolaire ou financier dans l’optique d’une restauration des locaux et relancer aussi la distribution du matériel scolaire.Si ma proposition vous intéresse, voici mon mail:minkamarie30@yahoo.fr
      Cordialement.

    • > Aide au développement de l’éducation

      bonjour

      Je suis vraiment ravis de ce message que je viens de lire.nous essayons de mettre en place une association d’aides scolaire pour les enfants habitants les coins reculés de notre pays le Benin enfin d’accompagner « L’ECOLE GRATUITE » voulu par le président de notre pays.ces manuèls scolaires pouront apporter un grand soulagement aux parents qui sont sous le ôids de la misere.

      • > Aide au développement de l’éducation
        Bonjour nous sommes une Association qui a pour princicale mission le développent de l’éducation. Nous existons il y a de cela six ans et nous essayons de travailler sur la base de nos propres moyens.Nous voudrions profiter de cette occasion pour faire part de nos doléances afin que vous puissiez nous aider pour cette cause commune. Nous sommes dans la commune d’Allada arrondissent de HINVI. Nous souhaiterions avoir l’opportunité de vous prouver de vive voix et avec des statistiques à l’appui nos diverses actions ménées sur le terrain.

    • > Aide au développement de l’éducation
      Bonjour
      J’ai vu votre message et je suis intéressé car j’ai une école privée dans la banlieue da Dakar, une zone très démunie.Si une chance reste pour à votre niveau, accordez nous là et nous vous en serons très reconnaissant car nous sommes dans un grand besoin.
      Merci d’avance

    • > Aide au développement de l’éducation
      slt nous sommes une association scientifique en algerie on travaille pour encadrer certain gens en notre village en matiere d’aprentissage de la langue francaise .on a un manque en documentation vous serez tres remercie de nous envoyer .toute l’equipe de l’association sera reconnaissante.notre adress )association scientifique tamussni village akabiou commune timezrit wilaya de bejaia cp06019

    • > Aide au développement de l’éducation
      Je suis enseignant dans un village nommé Kothiane, du senegal et dans le departement de Mbour;mais si je vous racontais les difficultés auxquelles nous sommes conffrontés,vous n enreviendriez pas!Si je vous disais qu une ecole primaire créée depuis 2003 vit sous abris provisoire avec une seule salle construite,11tables-bancs pour abriter un effectif total de123 élèves,une école sans toilettes ni bureau ou magasin,sans meme parler des manuels qui font defaut,je sais que la mission qui nous est assignée devient très difficile!Je sais que seul debonnes volontés peuvent nous aider à jouer notre partition pour rehausser le niveau de l analphabetisme dans nos pays du sud!Lorsque j ai vu votre message,je me suis dit qu il etait important de vous dire la situation que mes collegues nous vivons dans etablissement et que beaucoup d enseignants vivent en afrique!Je dis que nous ecartons aucune aide pour ameliorer la qualité de nos enseignements!Merci

    • > Aide au développement de l’éducation
      bonjour,
      je suis le président de CAV-Bénin ONG. nous somme une organisation du fond Bénin. nous serons très ravis si vous pouvez passer par notre ONG pour faire ces dons matérielles aux enfants pauvre des écoles de notre commune.
      merci

    • > Aide au développement de l’éducation
      Notre ONG Salver Africa s’occupe surtout de l’éducation et la sante. Nous sommes préoccupés par la situation des écoles de la région d’Agadez. En effet, cette zone a connu depuis plusieurs années des conflits armées, des sécheresses, des inondations et tout dernièrement l’arrivée massive des populations refoulées de la Libye et de l’Algérie ( Plus de 200 000 migrants). Les enfants des migrants ont des difficultés à s’insérer dans les écoles. En plus , les écoles ont des grosses difficultés ; classes en paillote avec le froid et les reptiles, classes dégradées par les pluies datant des années 1980, cantines scolaires non fonctionnels et les enfants courent de longues distances entre l’école et le campement, insuffisance des fournitures scolaires, manque des soins de base, etc. Nous lançons un appel pressant a toutes les bonnes volontés pour venir en aide a ces écoles car l’avenir dépend de l’école car un enfant qui n’a pas fait l’école c’est un conflit a gérer demain, c’est la délinquance, c’est une vie gâchée.
      Merci et bonne journée
      Cordialement

  8. Aide au développement de l’éducation
    Bonjour,

    Je suis au Burkina Faso dans un village comptant plus 8000 habitants, plus d’une dizaine d’écoles sur un rayon de 12 km. Nous venons d’obtenir une autorisation de l’état burkinabè pour la construction d’un collège pour notre village. Toutefois nous nous trouvons confrontés aux manques de moyens financiers nécessaires à cette réalisation. Sachant que nous ne disposons que de trente six mois pour la validité de ladite autorisation, nous laçons ici un appel à toute bonne volonté à mesure de nous venir en aide. Pour toute information complémentaire, veuillez nous contacter au 226 70 10 40 25 ou nous écrire à l’adresse email: alousonabel@yahoo.fr.
    NB: il est à noter que les villageois sont disposés à fournir les agrégats nécessaires à la construction et à céder gratuitement le terrain pour le collège.

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